#Crif #HaineSurInternet - CyberHaine : de la fiction ? Pas vraiment...

15 Mars 2018 | 54 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Jeudi 6 septembre s'est tenue la cérémonie d'échange des vœux entre les responsables de la Communauté juive, la Maire de Paris Anne Hidalgo et la présidente du Conseil régional d'Ile de France Valérie Pécresse.

Jeudi 26 juillet, j'ai écrit au Ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian afin de lui faire part de mon étonnement face à l'absence de mention d’Israël dans les déclarations du Quai d'Orsay suite à l'évacuation de casques blancs syriens.

Mercredi 25 juillet, j'ai adressé des courriers aux Présidents respectifs de la Fédération Française des Échecs et de la Fédération Française de Judo. L'objectif : mener à bien le combat pour l'égalité et contre la discrimination de toute nature.

Fausses rumeurs, photos ou vidéos truquées… les fausses informations, ou fake news, inondent le net. La désinformation va parfois plus loin, prenant la forme de théories à l’apparence scientifique.

Pages

Actualité

Texte de Richard Prasquier, ancien président du Crif, également publié dans l'hébdomadaire Actualité Juive.

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Par Nicolas Bedos

Pages

Opinion

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous à travers ces chroniques culinaires !

Pages

Nous sommes début 2018. Et je ne vous apprends rien : le danger 2.0 est bien réel.
 
Aujourd’hui, il n’y a qu’un clic qui sépare le réel du virtuel. Ainsi, ce qui peut être dit dans l’espace public pourra avoir la même portée sur la toile, si ce n’est pire. Les menaces du net sont bien plus concrètes que ce que l’on ne pouvait imaginer et l’impact des mots pèse bien plus qu’auparavant. Car non, « les cyber attaques », ce n’est pas seulement le mot tendance du moment. Il s’agit bel et bien d’une dangereuse atteinte à des systèmes informatiques dont les conséquences peuvent être catastrophiques à l’échelle mondiale.

Alors qu’Internet est perçu comme le lieu par excellence de désinhibition verbale sous couvert d’anonymat, le contrôle des discours de haine 2.0 s’avère aujourd’hui très complexe.

Chaque jour, des propos injurieux, dangereux, faisant l’apologie de la violence ou encore incitant à la discrimination et à la haine raciale se propagent à une vitesse phénoménale et fragilisent notre société. Ces mêmes propos participent et encouragent pleinement à ce que le Président du Crif appelle « l’antisémitisme du quotidien ».  

Création d’un Observatoire de la Haine sur le Net

A l'occasion du 33ème Dîner du Crif, Francis Kalifat a annoncé la création d'un Observatoire de la haine sur Internet. "Lorsque notre outil aura fait ses preuves, nous pourrons l'élargir au racisme, à la xénophobie, à l'homophobie, à la haine des musulmans et, aussi, à la haine de la France" a t-il expliqué. Ce projet a été vivement salué par le Président de la République Emmanuel Macron.

En tant que citoyen français, que pouvons-nous faire d’autres ?

Plusieurs actions peuvent être menées par nous, citoyens français, pour protéger notre société de cette fracture sociale : alerter les pouvoir publics ; signaler des contenus haineux via différentes plateformes : Le Crif, le site Internet Seriously,  la plateformes Pharos ; interpeller les plateformes concernées : Facebook, Twitter, Google (en les mentionnant sur Twitter, par exemple).

Rappelons-nous que la plus petite des actions vaut bien plus que la plus grandes des intentions.

Par Johana Tuil