Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Pour que le terrorisme ne gagne pas

02 Février 2021 | 9 vue(s)
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Actualité

Dans une interview donné à Patrick Perotto de L'Est Républicain, je suis revenu sur l’un des défis des années à venir : combattre les idées de haine qui se répandent sur internet

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

Suite à mon élection à la Présidence du Crif, j'ai répondu aux questions de Paul Amar, sur tous les sujets de préoccupations des Juifs de France.

Prix Nobel de littérature en 2002, l'écrivain hongrois Imre Kertèsz est mort à Budapest le 31 mars 2016. Son dernier livre, "L'ultime auberge" a reçu, le 22 mai 2016, le Prix Spécial du Jury 2016 du Salon du Livre de la Licra-Paris

Voici le discours que j'ai prononcé après le vote de l'assemblée générale du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

Lors du 9ème Salon du Livre de la Licra, deux écrivains ont reçu un prix

Là-bas, la crainte d'une menace russe est la principale raison qui exacerbe les passions identitaires.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

Des 27 avril au 10 juin 2016, se tiendront les journées nationales des Mémoires de la traite de l’esclavage et de l’abolition.  Souvenons-nous.

Nouvelle erreur de casting - Au lendemain de l'émission Dialogues Citoyens, retour sur Marwen Belkaid, un invité pas comme les autres.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Réaction à la célébration du 20ème anniversaire de la mort de François Mitterand

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Opinion

Par Chloé Blum

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Le vendredi 16 octobre 2020, le professeur Samuel Paty était décapité par un terroriste islamiste à Conflans-Sainte-Honorine aux abords du collège du Bois d’Aulne dans lequel il exerçait.

Son crime, aux yeux de l’assassin : avoir montré à des élèves de quatrième des caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo afin d’aborder une réflexion sur la liberté d’expression.

Partout, les réactions d’indignation, de colère et les condamnations se sont fait entendre. La Nation tout entière devenait Samuel Paty comme nous avions été Charlie.

Des rassemblements étaient organisés partout et sur les réseaux sociaux l’effroi et la sidération s’exprimaient. Une fois encore, un cap de plus avait été franchi et il était du devoir de tous de s’unir et de faire corps contre la barbarie.

Partout était déclaré que les « terroristes islamistes ne vaincront pas ! »

 

Mais, en réalité, où en sommes-nous de cette guerre ?

L’islamisme radical poursuit son invasion tentaculaire et telles des métastases se développe partout. Il se calme parfois pour mieux resurgir ! Il a réussi son coup car, partout, il fait peur !

La lutte contre l’islamisme reste une volonté politique affirmée mais l’autocensure s’est installée.

Tous réfléchissent à plusieurs fois avant d’aborder ce sujet qui a tué. J’en veux pour exemple la fronde de la commune varoise d’Ollioules dont le maire avait émis l’idée de baptiser son collège au nom de Samuel Paty.
Il a dû faire marche arrière devant l’opposition des enseignants à 100 %, des parents à 89 % et des élèves à 69 %, déclarant que bien que l’idée soit belle cela ferait de ce collège « une cible ».

Je ne veux surtout pas juger les êtres et leurs peurs mais ceci en dit long sur ce terrorisme islamiste qui a gangrené notre société et pénétré les esprits : il a installé la peur !

Le combat sera long et nécessitera une volonté et une énergie nouvelle afin de relever la tête. Comme l’a écrit Raphaël Enthoven « en se couchant devant l’ennemi, on met soi-même et les autres en danger. Tous les collèges de France devraient, auraient dû, comme un seul Homme, s’appeler Samuel Paty, tous ensemble, au moins temporairement.

Gil Taïeb

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