En 2002, quand paraissait l’ouvrage collectif Les Territoires perdus de la République (éditions Mille et une nuits/Fayard), coordonné par Emmanuel Brenner, Mohamed Merad avait treize ans. La bien-pensance accueillit ce livre au mieux par un silence de réprobation, au pire par de religieuses condamnations. Les MM. Homais de la sociologie firent la leçon aux contributeurs de l’ouvrage, tous professeurs du secondaire, qui n’eurent plus dès lors qu’à rentrer dans le rang.
Nous diffusons des cookies afin d'analyser le trafic sur ce site. Les informations concernant l'utilisation que vous faites de notre site nous sont transmises dans cette optique.En savoir plusOK