Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Question : Yigal Palmor, vous avez été Conseiller à l’information à l’ambassade d’Israël en France pendant cinq années et vous venez de quitter cet été votre poste. Vous vous retrouvez en Israël et êtes à l’heure actuelle Directeur Adjoint du Département des Organisations multilatérales européennes au Ministère des Affaires étrangères, à Jérusalem. Quel regard portez-vous sur votre pays, depuis votre retour ?
Question : Raphaël Draï, vous êtes professeur à l’Université d’Aix-Marseille. Vous venez de publier « Sous le signe de Sion. L’antisémitisme nouveau est arrivé » aux Editions Michalon (2002). Ce livre est-il un livre d’urgence pour ne pas taire ce qui doit être dit ?
1. Georges-Elia Sarfati, vous êtes professeur des Universités, linguiste et philosophe du langage, spécialiste d’analyse des discours politiques. Vous venez de faire paraître un livre consacré à l’antisionisme. En quoi l’antisionisme constitue un discours à la fois accusateur et victimaire, à travers les amalgames qu’il effectue (« sionisme=fascisme », « sionisme=racisme » etc.) ? En quoi ce discours vise-t-il à diaboliser l’adversaire ?
Entretien avec Alain Pagès, professeur de langues et littérature françaises à l'université de Reims. Il dirige également la revue annuelle de la Société littéraire des Amis d'Emile Zola, Les Cahiers naturalistes et êtes un éminent spécialiste d'Emile Zola.