Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Question : En quatre années d’intervalle, les Etats-Unis ont doublement été frappés. Pourtant, il y a quatre ans, on avait l’impression que l’Amérique était particulièrement unie, et soudée derrière ses morts et son Président. Ces derniers jours, il semble que les habitants de la Nouvelle Orléans aient été abandonnés à leur triste sort. Et nombreux sont ceux qui critiquent les autorités fédérales et le Président. Le Président des Etats-Unis a-t-il failli ?
Question : En Allemagne, l’économie est en panne faute de consensus sur la réforme d’un modèle allemand en lambeaux: la tâche du chancelier qui sortira des urnes le 18 septembre s’annonce difficile. Que voyez vous se dessiner après les élections ?
Sur paroles (1), le magazine de la nouvelle école de journalisme de sciences politiques de Paris consacre son dernier numéro (juin 2005) à l’héritage d’Auschwitz. Les étudiants ont rencontré les survivants de l’horreur : Henryk Mandelbaum, un des rares rescapés des Sonderkommandos, ces prisonniers chargés par les nazis de sortir les cadavres des chambres à gaz et de les brûler ; Jules Fainzang (88 ans) déporté à Auschwitz et à Buchenwald et qui participe chaque année à des séminaires sur la transmissions de l’histoire de la Shoah ; Martha Czerewska, une polonaise non juive qui se bat pour la mémoire de son frère Janosz, déporté à Auschwitz parce qu’il était artiste peintre ; Dorotha Rischka qui, tous les matins se rend dans les camps. Son métier ? raconter la Shoah aux visiteurs ; Charles Baron, un déporté français membre de la Commission du souvenir du CRIF, qui retourne souvent en Pologne avec des étudiants ou des lycéens et Annick Kayitesi qui est rescapé du génocide Tutsie.