Pierre Arditi joue actuellement dans «L'être ou pas», une pièce acide et joyeuse qui met en scène un juif éloigné du judaïsme et un ignorant plein de clichés.
Vous venez de publier « Une cité si ardente. Les juifs de Liège sous l’occupation » (éditions Luc Pire).Pourquoi avoir fait ce livre ? Vous n'êtes pas un historien de profession. Qu'est-ce qui fait qu'un jour on se lève et on se dit : « Je vais écrire un livre sur la déportation des juifs de Liège »?
Amir Jahanchahi, réfugié politique iranien, va « dire comment faire » pour parvenir à renverser le pouvoir en Iran, ce vendredi 19 mars 2010 à Londres, à la veille du Nouvel An iranien, Noruz :
- Vous avez participé à Marrakech au colloque international sur la coexistence pacifique judéo-musulmane, initiée par l’association « Permanences du Judaïsme marocain » (APJM) organisé à Marrakech par Arrik Delouya. Pourquoi ?