"Je rentre de Jérusalem et trouve soudain avec un sentiment de vide ce message triste, terriblement triste : Jorge n'est plus. C'était un écrivain rare dont chaque mot nous enrichissait. C'était aussi un grand ami, un ami fidèle. Chacune de nos rencontres nous ramenait en arrière, au loin. Je me souviens, je me souviendrai toujours de son sourire."