Sous-titré La Fin du monde, 2084 s'ouvre sur cette phrase sans ambages : « La religion fait peut-être aimer Dieu mais rien n'est plus fort qu'elle pour faire détester l'homme et haïr l'humanité. »
S'ensuit un ironique avertissement adressé au lecteur sur le fait que tout ce qui suivra sera « une œuvre de pure invention ».
Et l'écrivain d'asséner : « Dormez tranquilles, bonnes gens, tout est parfaitement faux et le reste est sous contrôle. » Les 274 pages suivantes décrivent un pays, l'Abistan, régit par la soumission au dieu unique...
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