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Les Fils et Filles des Déportés Juifs de France Militants de la Mémoire | F.F.D.J.F.- Président : Me Serge Klarsfeld, lundi 16 juillet 2012

Lundi 16 juillet à 18h les F.F.F.J.F sous la présidence de Maître Serge Klarsfeld commémoreront jour pour jour après 70 ans l’arrestation des Juifs de France lors de la Rafle du Vel d’Hiv. Notre rassemblement traditionnel aura lieu Boulevard de Grenelle à l’emplacement du Vel d’Hiv,métro : Bir-Hakeim).

Le grand rabbin de France Gilles Bernheim a affirmé, jeudi 12 juillet 2012, que les autorités religieuses musulmanes devaient "récuser publiquement tout ce qui peut rappeler l'intégrisme et la violence que portent certains courants de l'islam", sur fond de progression des actes antisémites depuis l'affaire Merah. M. Bernheim s'exprimait devant la presse dans la cour de l'Elysée, après un entretien avec le président François Hollande. 

Nous publions ici la lettre ouverte envoyée par Madame Nina Wallet Intalou, membre de l'éxécutif du MNLA (Mouvement National de Libération de l'Azawad. Le MNLA, rappelons-le, est un mouvement touareg qui recherche l'indépendance de l'Azawad, c'est-à-dire d'une vaste région qui se trouve actuellement au Nord du Mali. Ses membres sont actuellement engagés dans un combat désespéré contre Ansar Dine, mouvement islamiste djihadiste largement financé par des capitaux en provenance de la péninsule arabique.

Pouvez-vous nous présenter le Jaffa Institute?

L'Institut de Jaffa encadre depuis 30 ans quelques 4500 enfants défavorisés issus de familles en grande difficulté et de toutes origines. Dès sa fondation, l'Institut s'est installé à Jaffa, où vit une forte population arabe. C'était le vœu de ses fondateurs, le Col. Zonik Sha'ham et le Dr David Portowicz, que de contribuer au vivre ensemble et d'encourager les différentes composantes de la société israélienne à œuvrer pour l'entente et la tolérance. Ces objectifs dépendant de la bonne formation des citoyens dès leur plus jeune âge, l'Institut de Jaffa s'est donné pour priorité le domaine de l'éducation, parallèlement aux services sociaux dispensés dans les zones difficiles du pays.

La Grande Mosquée de Paris (GMP), qui a déjà pris ses distances avec le Conseil français du Culte musulman (CFCM), a annoncé mercredi 11 juillet 2012 qu'elle démissionnait de cette instance censée représenter officiellement l'islam en France. De son côté, le président du Conseil national du Culte musulman Mohammed Moussaoui, s'est déclaré «étonné de la décision brutale» prise par le recteur de la Grande Mosquée de Paris (GMP) de démissionner du CFCM.

Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a exprimé, mercredi 11 juillet 2012, sa "vive inquiétude" devant les accusations visant "l'antisémitisme supposé des jeunes de confession musulmane". Le CFCM "tient à exprimer sa vive inquiétude face aux accusations autour de l'antisémitisme supposé des jeunes de confession musulmane, notamment après la diffusion d'extraits d'enregistrement en lien avec la tuerie abjecte de Toulouse et de Montauban", selon un communiqué.