Francis Kalifat

Ancien président

Calculs électoraux et déclarations absurdes, par Francis Kalifat

29 August 2016 | 24 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Vendredi 9 août 2024, s'est tenue la cérémonie en hommage aux victimes de l'attentat terroriste de la rue des Rosiers, organisée par le Crif en collaboration avec la Mairie de Paris. La cérémonie s'est tenue devant l'ancien restaurant Jo Goldenberg, au 7 rue des Rosiers. À cette occasion, le Président du Crif a prononcé un discours fort et engagé dans la lutte contre l'antisémitisme sous toutes ses formes, en dénonçant notamment celle qui se cache derrière la détestation de l'Etat d'Israël.

Mardi 16 juillet 2024, s'est tenue la cérémonie nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites et d'hommage aux Justes de France, commémorant la rafle du Vél d'Hiv organisée par le Crif en collaboration avec le Ministère des Armées. Cette année, à l'approche des Jeux Olympiques, la cérémonie s'est tenue au Mémorial de la Shoah. À cette occasion, le Président du Crif a prononcé un discours fort et engagé, dans un contexte national et international difficile.

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Je fais suite aux propos de Jean Luc Melenchon travestissant l'Histoire de France.

Depuis quelques jours nous assistons à un déferlement de déclarations au sujet du Burkini.
 
Chacun y va de sa déclaration en fonction de son propre agenda électoral.
 
Dans ce domaine JL Mélenchon comme d’habitude atteint les sommets de l’absurde et de l’indécence en déclarant « dans notre pays, on a persécuté les juifs, puis les protestants et aujourd’hui les musulmans... »
 
Ce relativisme et le parallèle  sont totalement inacceptables doivent être dénoncés.
 
Profiter de la polémique actuelle pour assimiler les arrêtés  «anti burkini » à la Saint Barthélémy et à la shoah est indigne et nauséabond.
 
Par ces propos, Jean-Luc Mélenchon nous montre une fois de plus qu’il est prêt à tout, pour attirer l’attention et instrumentaliser les polémiques allant jusqu’à travestir l’histoire de notre pays.
 
Un tel relativisme et de telles arrières pensées politiques sont indignes d’un candidat à la présidence de la République.