Le 9 janvier 2015, l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes à Paris est attaqué par un terroriste. Seulement deux jours après l'attaque terroriste contre Charlie Hebdo, une prise d'otages a lieu dans le supermarché et quatre personnes perdent la vie dans cette attaque terroriste. Dix ans après, le Crif lance le podcast « Hyper Cacher, 10 ans après » pour honorer la mémoire de Philippe Braham, Yohan Cohen, Yoav Hattab et François-Michel Saada, le Crif lance son nouveau podcast « Hyper Cacher, 10 ans après ».
Le 7 janvier 2015, la rédaction du journal Charlie Hebdo était la cible de la barbarie islamiste. Dix ans après, rendons hommages aux douze personnes qui ont perdu la vie dans ce tragique attentat : Jean Cabut (Cabu), Georges Wolinski, Stéphane Charbonnier (Charb), Bernard Verlhac (Tignous), Philippe Honoré, Bernard Maris, Ahmed Merabet, Mustapha Ourrad, Elsa Cayat, Franck Brinsolaro, Michel Renaud et Frédéric Boisseau.
Richard Zelmati, Président du Crif Auvergne-Rhône-Alpes (ARA) a prononcé un discours lors du dernier dîner annuel du Crif ARA qui s'est tenu le 19 décembre 2024 en présence de Yaël Braun-Pivet, Présidente de l'Assemblée nationale. Dans son discours, RIchard Zelmati a notamment rappelé l'histoire de la naissance du Crif : « Le Crif est né ici, à Lyon, dans la clandestinité d’une France ravagée par les persécutions et les rafles, dans les cafés de Lyon, de Villeurbanne, de Vaulx-en-Velin, dans des conciliabules d’appartements, chez Léon Meiss, Haut magistrat qui l’a fondé, chez le grand Rabbin Jacob Kaplan, chez le regretté Léo Glaser qui finira sa vie abattu à Rillieux-la-Pape par les balles de la Milice de Paul Touvier, au petit matin du 29 juin 1944. Nous sommes nés de cet invincible instinct de survie et de vie, de cette résilience irrévocable qui porte la communauté juive à travers les épreuves ».
François Hollande, ancien Président de la République, expose sa stratégie pour le Parti socialiste. Il appelle à une « stabilité politique » par un dialogue exigeant avec le gouvernement Bayrou, et affirme la nécessité d’une « autonomie » vis-à-vis de LFI et Jean-Luc Mélenchon, en vue de 2027. Pour lui, une union victorieuse à gauche doit être responsable et respecter les fondements républicains comme la laïcité et la lutte contre les discriminations.
Il souhaite un PS autonome et élargi, condition essentielle pour regagner la confiance des Français, et appelle à un congrès du parti en 2025 alliant « rassemblement et élargissement ». Évoquant la perspective de l’élection présidentielle, il considère que le PS est porteur du « vote utile » et dénonce aussi les ambiguïtés de LFI sur le terrorisme et l'antisémitisme, rappelant la fermeté historique des socialistes sur ces sujets.
François Hollande conclut cet entretien par une analyse de la situation au Proche-Orient, exprimant à la fois un soulagement face à la chute d’Assad et des inquiétudes pour l’avenir de la région.
« Jésus le palestinien » est devenu une figure incontournable du discours pro palestinien. Le 26 décembre 2024, LEON le média a publié une vidéo pour revenir sur ce « mythe tenace ». Dans cette vidéo, LEON le média démontre comment l’appropriation de la figure de Jésus permet d’appuyer une thèse bien ancrée dans le discours antisioniste. D’après cette thèse, les Palestiniens seraient en réalité les « vrais » descendants des Juifs de l’Antiquité, tandis que la majorité des Juifs actuels seraient issus de conversions sans lien avec le Moyen-Orient. Cette théorie, démentie par les études génétiques, laisse entendre que les Juifs seraient des « colons » sur leur terre ancestrale. Elle nie ainsi la légitimité historique d’Israël tout en permettant aux Palestiniens de se l’accaparer. Le mythe d’un « Jésus palestinien » cherche aussi à réactiver l’accusation de peuple déicide.
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