Lydia Guirous en appelle au "réveil du citoyen de l'Occident" face à "l'obscurantisme islamique qui progresse rapidement". Un citoyen "anesthésié par l'individualisme narcissique et le matérialisme".
Alors que le débat est lancé dans plusieurs pays, et que tout et son contraire est déclaré, Gérard Loeb, point par point, démonte toutes les idées reçues sur l'abattage rituel. A lire pour comprendre !
L’historien spécialiste del' Algérie, qui préside le Musée de l’histoire de l’immigration, participera à la prochaine Convention du Crif, le 4 décembre 2016 à Paris. Il interviendra lors de la table ronde intitulée "Qui a peur de l’immigration ?".
Présidente de l'Observatoire international de la violence à l’école, Catherine Blaya pilote une grande enquête sur la propagande et la violence en ligne.
Avocat, Patrick Klugman – qui a été Président de l’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF), puis adjoint au Maire de Paris en charge des relations internationales – est le défenseur d’une famille d’otage capturé par le Hamas le 7 octobre. Alors que certains cherchent à établir une équivalence entre otages et prisonniers légalement détenus en Israël après décisions de Justice, Patrick Klugman s’élève, dans notre entretien, contre cette « symétrie » : « Un prisonnier n’est pas un otage. Un prisonnier est détenu en fonction d’un titre que l’on peut contester dans un endroit qui est connu et où il peut être visité et avoir accès à l’aide juridique ou médicale dont il a besoin. Un otage à Gaza a beaucoup moins de droits qu’un animal mal traité en France ». Répondant aux questions de Jean-Philippe Moinet sur l’enjeu et le nombre des otages détenus par l’organisation terroriste, l’avocat indique : « Personne ne pense qu’il y a encore 130 otages vivants à Gaza. Les experts évoquent plus généralement entre 40 et 70 d’entre eux dont on peut espérer le retour ».
Yonathan Arfi a pris la parole dans le cadre de l’événement organisé par Aurore Bergé, en présence des représentants des cultes et des associations de lutte contre la haine.
Lundi 6 mai 2024, le 38ème Dîner annuel du Crif s’est tenu en présence du Premier ministre, Gabriel Attal. Jour de Yom Hashoah, sept mois après les attaques terroristes du 7 octobre en Israël, alors que plus de 130 personnes sont encore retenues en otage par les terroristes du Hamas, et que les actes antisémites flambent en France… ce dîner a été l’occasion de rendre hommage à toutes les victimes juives et de demander, une fois encore, la libération immédiate des otages retenus dans la bande de Gaza.
Cette année, la lecture publique des noms des victimes alsaciennes de la Shoah s’est tenue dans un contexte particulier. Le Crif Alsace a organisé une commémoration sur une des places emblématiques de la ville de Strasbourg.