L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
Question : Que pensez-vous de la manière dont on a parlé de la Shoah à la dans les médias, lors des commémorations qui ont été organisées en janvier 2005, à l’occasion du 60ème anniversaire de la libération des camps d’extermination ?
Question : Comment expliquez-vous qu’Israël ait une si mauvaise image en France et soit souvent perçu comme un pays dangereux, menaçant les équilibres régionaux et la paix mondiale ?
Question : Que pensez-vous des dernières déclarations de Bruno Gollnisch qui met en doute l’existence des chambres à gaz et met en cause un universitaire également en raison de son origine juive ? Pensez-vous qu’il apporte ainsi son appui à Robert Faurisson et Bernard Notin, deux universitaires lyonnais, auteurs de thèses négationnistes ?