Lydia Guirous en appelle au "réveil du citoyen de l'Occident" face à "l'obscurantisme islamique qui progresse rapidement". Un citoyen "anesthésié par l'individualisme narcissique et le matérialisme".
Alors que le débat est lancé dans plusieurs pays, et que tout et son contraire est déclaré, Gérard Loeb, point par point, démonte toutes les idées reçues sur l'abattage rituel. A lire pour comprendre !
L’historien spécialiste del' Algérie, qui préside le Musée de l’histoire de l’immigration, participera à la prochaine Convention du Crif, le 4 décembre 2016 à Paris. Il interviendra lors de la table ronde intitulée "Qui a peur de l’immigration ?".
Présidente de l'Observatoire international de la violence à l’école, Catherine Blaya pilote une grande enquête sur la propagande et la violence en ligne.
"Nous voulons aider les Palestiniens à construire un Etat mais ils doivent renoncer au terrorisme", a déclaré Rachida Dati à la Newsletter du CRIF dans une interview accordée quelques jours après que la Garde des Sceaux, ministre de la Justice, a effectué en Israël et dans les Territoires palestiniens du 19 au 21 septembre 2008.
Dans un entretien accordé à la Newsletter du CRIF, Nicole Yardeni, la présidente du CRIF Toulouse Midi-Pyrénées, revient sur son parcours et évoque les prochains projets de sa délégation.
30 % des voix. Tel est le score des deux formations d'extrême droite autrichienne lors des dernières élections législatives, le 28 septembre. Un résultat peu rassurant. Pourtant, Ariel Muzicant, le président de la communauté juive en Autriche, relativise: "Il s'agit d'un vote sanction. Nous avions deux grands partis qui pendant 18 mois n'ont fait que se disputer. Les Autrichiens ont manifesté leur mécontentement en votant pour les partis d'extrême droite." Restant vigilant, Ariel Muzicant rappelle tout de même le danger de voter pour ces partis dont les cadres sont racistes et antisémites. Le fait que les électeurs ne sont pas d'extrême droite n'excuse en rien le comportement des autres partis qui ne rechignent pas à former un gouvernement avec des représentants de ces formations politiques: "Ce qui nous dérange, c'est qu'il n'y a pas eu, comme en France ou en Belgique, une sorte de cordon sanitaire de tous les autres partis pour ne pas former un gouvernement avec le FPÖ et le BZÖ. En Autriche, la gauche l'a plus ou moins fait entendre mais la droite semble plus ouverte à cette idée." La communauté juive et les associations d'anciens déportés ont d'ailleurs lancé un appel contre l'élection du député du FPÖ, Martin Graff, pour la vice-présidence du Parlement.
Après 22 ans de combat contre le terrorisme et pour l’aide aux victimes, Sos Attentats a été dissout. Interrogée pour la newsletter du CRIF, Françoise Rudetzki, fondatrice de l’association, dresse le bilan de ces dernières années et revient sur les raisons qui ont poussé à prendre cette décision.
Aux portes, des mezouzot [boîtier contenant un parchemin sur lequel sont inscrits des versets bibiliques] roses, violettes… en pâte cuite. « Ce sont les enfants de l’école qui ont fabriqué toutes les mezouzot », explique la directrice de l’école juive moderne, Josée Vaisbrot. Ouverte à la rentrée 2007 dans le 17e arrondissement, cette école est née de l’initiative des trois communautés : Adath Shalom, MJLF et ULIF. Pour autant, elle ne s’inscrit pas dans une mouvance libérale mais plurielle. « Ici on rassemble toutes les pratiques de la communauté. On a à la fois des familles de mariage mixte et des familles orthodoxes modernes qui se retrouvent dans ce projet ». L’école a, en effet, instauré un « minimum commun » de pratique qui se définit par le respect de la cashrout du Beth Din [Tribunal rabbinique] de Paris, la prière le matin, les bénédictions avant de manger et le "Birkat amazon" [bénédictions après le repas]. L’enseignement des fêtes est vécu au quotidien. « L’école a fait une lecture de la Méguila [parchemin] à la fête de Pourim, un seder de Roch Hachana [repas traditionnel du Nouvel An juif], un repas sous la souccah [cabane] avec les parents à la maison Moadon. On a fait un seder de Pessah avec le rabbin Farhi. Chaque fois, on a invité un rabbin d’une des trois communautés », précise Josée Vaisbrot.
Dès juillet 2006, Roger Pinto constitue le Comité international pour la libération des trois soldats israéliens. Pour la newsletter du Crif, il rappelle les grandes étapes de cette action qui, après la restitution des corps d'Eldad Regev et Ehud Goldwasser, se poursuit sans relâche pour la libération de Gilad Shalit.