Tribune

Tribune
|
Publié le 31 Juillet 2014

De l'antisionisme à l'antisémitisme et à la victimisation

Par Michaël de Saint-Cheron, Philosophe des religions, publié dans le Huffington Post le 30 juillet 2014

Lundi dernier, j'ai écrit un article intitulé "De la mort d'enfants: Israël et le Hamas au pied du mur" (également visible sur le Huffington Post Québec) à l'adresse des Français juifs, des Français musulmans et pour tous les autres Français, Européens, Israéliens, Palestiniens francophones et pour toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté: je veux dire aussi pour tous les républicains, les vrais.

Tribune
|
Publié le 31 Juillet 2014

La cécité de l'Occident devant le désastre arabe et islamiste

Par Jacques Tarnero, Essayiste, publié dans le Huffington Post le 31 juillet 2014

L'espace arabe est dans le chaos, mais a fait de la Palestine son drapeau.

Que le Hamas soit le drapeau de la Palestine constitue un désastre complémentaire.

Que l'islamisme soit le moteur idéologique de l'espace arabo-musulman est un autre désastre et une menace pour tous.

Tribune
|
Publié le 30 Juillet 2014

Partir ou mourir, le sort tragique des chrétiens de Mossoul

Par Laurence Desjoyaux, publié dans la Vie le 28 juillet 2014

En quelques heures, la fuite des derniers chrétiens de cette ville du nord de l’Irak face aux menaces des djihadistes a effacé 1700 ans d’Histoire.

Tribune
|
Publié le 30 Juillet 2014

Une Guerre de raison

Propos recueillis par Jacques Salomon, publié dans L'Arche le 29 juillet 2014

Richard Darmon est journaliste et auteur d’une recherche sur l’éthique dans l’armée israélienne.

Tribune
|
Publié le 30 Juillet 2014

Analyse: la démilitarisation de Gaza est possible

Par Yossi Melman, auteur, commentateur de la sécurité et du renseignement israéliens, publié sur I24 News le 30 juillet 2014

Il existe de nombreux moyens pour s'assurer que Gaza n'abuse pas d'une levée du blocus afin de se réarmer.

Tribune
|
Publié le 30 Juillet 2014

Antisémitisme, lâchetés et silences

Par David Gakunzi, publié dans la Règle du Jeu le 28 juillet 2014

La haine – cette haine-là – couvait depuis longtemps. Ne restait plus qu’un prétexte pour qu’elle se déchaîne sans fards ni masques. Slogans abjects proférés au grand jour, synagogues visées, commerces brûlés… Élan solidaire vers ceux de Gaza ? Furieuse et totale haine anti-juive plutôt.

Tribune
|
Publié le 29 Juillet 2014

« Les Syriens ne veulent pas des djihadistes français ! »

Par un collectif publié dans le Monde le 28 juillet 2014

La question des centaines de jeunes Français qui partent faire le djihad en Syrie polarise l'attention politique et médiatique. L'inquiétude fondée que ces individus soient tentés à leur retour par des actions telles que celle conduite par Mehdi Nemmouche est suffisamment grave pour ne pas être prétexte à polémiques et surenchères, amalgames et simplifications.

Tribune
|
Publié le 29 Juillet 2014

France Denounces Anti-Semitism, Braces for More Gaza Protests

Par Lisa Bryant publié en anglais dans the Voice of America le 22 juillet 2014

"Nous avons eu huit synagogues attaquées, nous avons eu des boutiques attaquées, de mezuzoth arrachées. Nous avons entendu des foules hurler « Mort aux Juifs », pas « Mort à Israël », alors qu'ils prétendent manifester en faveur du Hamas et des Palestiniens et contre Israël », explique Roger Cukierman, Président du CRIF.

Tribune
|
Publié le 29 Juillet 2014

'Jews in France are stand -ins for Israeli targets'

Par Joshua Melvin publié en anglais dans The Local le 15 juillet 2014

« Nous assistons à une augmentation massive des déclarations antisémites, extrêmement violents en ligne, à laquelle nous n’avons jamais été confrontés par le passé. Il ya beaucoup de haine et de menaces sur Internet", explique Marc Knobel, responsable des études au CRIF, ajoutant que « ces déclarations faites en ligne, peuvent rapidement aboutir à des actes de violence ».

Tribune
|
Publié le 29 Juillet 2014

Manif pro-Gaza, antisionisme et violences : de ma vie, je n'aurais pas cru ça possible

Par Jean-Marcel Bouguereau, Éditorialiste, publié dans le Nouvel Observateur le 24 juillet 2014

"Rien ne peut justifier la violence". Face aux débordements de la manifestation en soutien aux Palestiniens de dimanche 20 juillet à Sarcelles, Manuel Valls a haussé le ton. Épicerie casher incendiée, synagogue attaquée et émeutes, le Premier ministre a jugé ces heurts "intolérables".

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Cinq regards croisés au CRIF sur le massacre de Tian’anmen

|
03 Juin 2009
Il y a vingt ans, à la stupeur des manifestants qui réclamaient « simplement plus de dialogue » avec le régime communiste chinois et l’ouverture de la démocratie, les blindés faisaient mouvement place Tian ‘anmen. Le soulèvement populaire était maté par les armes, faisant des centaines, voire des milliers de morts, selon les sources. Quel regard portez-vous sur ces événements ?

Albert Roche, Président du CRIF de Bordeaux – Aquitaine : «Les Bordelais sont très fiers de nos champions de football !»

|
02 Juin 2009
Question : Bordeaux a reconquis le titre de champion de France 2009 de football, au nez et à la barbe de l’OM et, à Bordeaux, près de 25.000 supporteurs se sont rassemblés place des Quinconces pour assister à la remise de la coupe. Vous êtes content?

Hommage a la famille Metzler

|
28 Mai 2009
Il y a quelques années, le docteur Bruno Halioua, historien et secrétaire général de l’AMIF, association membre du CRIF, a attiré l’attention des autorités de la région Poitou-Charente sur la tragédie terrible de la famille Metzler.

Raphaël Haddad, président de l’UEJF: les organisations non-gouvernementales ont bien fait d’aller à Genève

|
25 Mai 2009
A la suite de l’émission de France 2 à laquelle vous avez pris part, 19 avocats de la défense du « gang des barbares » ont dénoncé des « atteintes graves à la présomption d’innocence et à l’indépendance de la justice ». Qu’en pensez-vous ?

Ces accusations me semblent bien lourdes au regard d’une émission qui a fait le choix d’un vrai débat de fond sur le procès des ravisseurs d’Ilan Halimi ! Je crois qu’il ne faut pas se laisser impressionner par les cris d’orfraies. Tout ce qui permettra à ce procès d’être l’occasion d’un débat public sur ce que cette tragédie révèle comme malaise dans notre société doit être encouragé.

Un procès doit-il avoir un rôle pédagogique ?

La loi, comme la sanction ont parfois une fonction pédagogique. Elles viennent rappeler les limites fixées par l’ensemble des citoyens pour continuer à vivre-ensemble. Cette dimension est essentielle pour le procès d’un acte antisémite aussi grave, qui s’inscrit dans les milliers d’autres commis sur notre territoire depuis le début des années 2000.

Vous avez fait le clown à Genève pour dénoncer « le cirque » du Durban 2. En fin de compte, quel est le bilan de cette réunion ? Que répondez-vous à ceux qui disent qu’il ne fallait pas aller à Genève ?

Le bilan de ce sommet pose une question lourde à tous les militants des droits de l’homme. Un chef d’état raciste et ne cachant pas ses volontés d’extermination a ouvert les débats d’une conférence mondiale contre le racisme, tandis qu’une organisation antiraciste reconnue en a été expulsée. Par ces faits, je crains que le conseil des droits de l’homme de l’ONU ait signé l’inversion des valeurs humanistes qu’il est censé défendre, et le succès des pays les plus méprisants des droits de l’homme. Pour cette raison, une réforme de la gouvernance de cet organe m’apparait indispensable et urgente. Je regrette que la France ait participée à cette conférence, parce qu’elle y a ainsi conféré une part de légitimité. Mais à ceux qui prétendent qu’il ne fallait pas que les ONG se rendent à Genève, je réponds que le meilleur endroit au monde pour dénoncer la mascarade de Durban 2 était sans aucun doute à quelques mètres du Président iranien.

Vous avez été invité à la réunion annuelle de l’American Jewish Committee. Quelle est la perception qu’ont les Juifs américains de la situation des Juifs en France ?

J’ai été très marqué par cette rencontre annuelle, qui a réuni 700 personnes pendant trois jours autour d’ateliers thématiques, de grandes conférences. Les juifs américains sont très soucieux de la situation des Juifs de France, et relativement inquiets devant les 350 actes antisémites qui ont été commis sur notre territoire pendant qu’Israël faisait la guerre au Hamas. Pour ma part, je reviens de cette réunion confortée dans l’idée qu’à l’image de ce que nous faisons dans les collèges avec le programme Coexist (www.coexist.fr) ou de notre engagement aux côtés d’associations de quartiers, c’est en construisant des ponts avec d’autres populations que nous pourrons garantir l’avenir des Juifs de France.

Pensez-vous qu’une organisation comme l’UEJF peut critiquer le gouvernement israélien ou doit être inconditionnellement alignée sur les positions des dirigeants israéliens, quels qu’ils soient ?

Il faut soutenir inconditionnellement le droit à l’existence de l’état d’Israël et ne jamais manquer une occasion de promouvoir la paix.

Alec Borenstein : les couleurs de Tel-Aviv

|
20 Mai 2009
A l’occasion du centenaire de Tel-Aviv, Hagalleria (45 rue Crozatier 75012 Paris) expose jusqu’au 6 juin des peintures d’Alec Borenstein sur le thème : « Alec : Tel-Aviv à vif ».

Pourquoi avoir choisi Tel-Aviv comme lieu privilégié de votre peinture ?

Tel Aviv est un des thèmes privilégiés dans ma peinture (il y en a d'autres comme :Freud, les citrons, les nappes à carreaux ..), mais Tel Aviv n'est pas le lieu de ma peinture! C'est là peut-être l'originalité d'une œuvre qui oscille entre un réalisme très sévère et un certain onirisme.
Car c'est dans mon atelier parisien dans sa lumière grise que je peins Tel Aviv, inondée d'une lumière jaune et de couleurs vibrantes. Comme l'a écrit le poète Yéhuda Halévi : "Mon cœur est en Orient, mais je suis aux confins de l'Occident".

Vous avez une nostalgie particulière pour la rue de votre enfance, la rue Mapu. Pourquoi ?

C'est la rue où j'ai grandi. Elle conserve des souvenirs d'une enfance idéalisée par le temps qui passe ...Dans une de mes toiles, je me revoie enfant dessinant la rue Mapu, dans une autre, "Le cheval rouge», la maison violette -l'ancien hôtel Bristol-est reconstituée d'après un de mes dessins d'enfance.
La rue Mapu porte en elle la quintessence de ce qu'est Tel Aviv pour moi : ses maisons de style Bauhaus, ses petites cours, le soleil ardent et la mer à quelques pas.

Tel-Aviv a 100 ans. Quel est votre regard de citoyen et de peintre sur cette ville ?

Je dirai que je suis heureux de constater les efforts faits pour préserver, au moins au cœur de la ville, le caractère particulier de Tel Aviv : les proportions humaines de ses maisons à trois ou quatre étages entre lesquelles poussent des ficus, des arbustes et des palmiers.
En 100 ans, la petite bourgade est devenue une véritable métropole, avec une activité économique et culturelle d'une grande capitale en miniature... Mais ma peinture s'attache surtout à son charme le plus authentique.

Jacques Jacubert, président du B’nai Brith France: mon bilan

|
20 Mai 2009
Jacques Jacubert, vous aviez été élu président du Bnai Brith France en 2007.
Votre successeur - Ils sont deux à briguer votre place - sera élu le 14 juin prochain.
Vous avez donc décidé de ne pas vous représenter. Deux ans, n’est-ce pas trop court pour obtenir des résultats tangibles ?

Pages