L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
« La folie d'un front froid balayant la Prairie en automne. On le sentait : quelque chose de terrible allait se produire. » Ainsi débute Les Corrections de Jonathan Franzen, publié en 2001. Ce « quelque chose de terrible » recouvre une couleur particulière cet automne 2011. Alors que la crise de la dette secoue la zone euro, les politiques européens mettent en place des mesures rigoureuses.
Un programme de télévision de l’Autorité palestinienne a déclaré que « la pluie tombe sur Jérusalem pour laver l’impureté des traces des Juifs au nom des musulmans qui viennent prier dans la ville ».
Que va changer le nouveau rapport de l'AIEA sur le nucléaire iranien qui doit être rendu public ce mardi 8 novembre 2011? L'explication de Bruno Tertrais, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique.
Dès 1953, un programme nucléaire iranien est développé par le shah Mohammad Reza Pahlavi avec l'aide des Etats-Unis, dont le président Eisenhower a lancé en 1953 le programme "Atomes contre paix". Un programme qui donnera lieu à la création, en 1957, de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Jacques Tarnero, vous publiez aux Editions Armand Colin (263 pages, 18 euros), un nouvel ouvrage : « Le nom de trop. Israël illégitime ». En page de couverture, figure un bandeau avec cette accroche : « A tous ceux qu’Israël empêche de dormir !... et aux autres ». Vous aimez provoquer, faire peur -ou vous voulez ne serait-ce qu’avec ce titre- accrocher vos lecteurs ?