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Question subsidiaire : qui est habilité à juger du danger couru par les envoyés spéciaux dans les zones de conflit, et donc appelé à répondre devant l’opinion, voire les tribunaux, des « accidents du travail » (assassinats, blessures, enlèvements suivis de séquestration) subis par des salariés dans l’exercice de leurs fonctions ?
Le discours convenu veut que tous ceux qui ont été victimes de ces drames, pour autant qu’ils appartiennent à des médias installés, soient des journalistes aguerris, bon connaisseurs du terrain et non des « têtes brûlées », mettant en danger leur vie et celle des autres pour se hisser au sommet de la gloire médiatique… Lire la suite.