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Valérie Hoffenberg : «le lien entre les Etats-Unis et Israël est indéfectible»

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23 Mai 2008
1° Vous êtes la représentante en France de l’American Jewish Committee (l’AJC) qui vient de tenir à Washington son congrès annuel dont l’hôte d’honneur a été cette fois le Premier Ministre François Fillon. Pouvez-vous nous présenter l’AJ, l’une des plus anciennes et des plus connues organisations juives américaines ?

Marcel Blumenzak : «Je ne veux pas être considéré comme un héros»

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15 Mai 2008
L’homme n’aime pas les honneurs. Il refuse même d’aller chercher la légion d’honneur qui lui est décernée. Marcel Blumenzak est un homme modeste. Il considère que ce qu’il a fait était de son devoir. Téméraire, il s’engage à 17 ans comme volontaire étranger pour aller combattre aux côtés des siens en Israël. « Je ne voulais plus qu’à cause d’un nom, d’une appartenance à une religion quelqu’un soit massacré. »

Maurice Schwartz : «Participer à la naissance de cet Etat a été un élément majeur de notre vie»

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14 Mai 2008
« J’étais un enfant perdu qui cherchait à se construire. Après la guerre, ce n’était pas évident de retrouver ses marques », explique Maurice Schwartz. Cet ancien combattant de la guerre d’indépendance est parti en Israël pour se reconstruire mais aussi et surtout « parce qu’on avait besoin » de lui.

Simon Drucker : «Etre en vie à 21 ans me semblait une sorte de victoire»

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13 Mai 2008
Né en 1924 à Paris, Simon Drucker vit avec ses parents originaires de Pologne et son petit frère Isidore. Le père de Simon, sans papier, fabrique des casquettes dans un atelier de la rue des Blancs-Manteaux. « Il nous arrivait souvent d’avoir faim mais nos parents nous donnaient tellement d’amour, de tendresse, que dans les pires moments – et même plus tard devant la mort – l’espoir ne nous abandonnera jamais », déclare Simon.

Dialogue interculturel en Israel : de la crainte à la joie

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29 Avril 2008
L’experience d’Eva Halahmi, directrice de projets de la fondation Tali, qui organise des rencontres entre des enfants juifs et arabes.

Jo Wajsblat, un combattant

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28 Avril 2008
Au moment de sa libération, Jo fait la connaissance d’un soldat juif américain, Harry Jelinowicz. « Il parlait couramment yiddish comme moi et m’a demandé quels étaient mes projets. Si je comptais repartir en Pologne », se souvient Jo. Le soldat lui propose de venir en Amérique. Pour cela, il faut d’abord passer par la France. Arrivé à Paris, il est amené au Carreau du Temple. Jo a 16 ans. Il ne parle que yiddish. Il est orphelin. Il porte encore son pyjama de prisonnier, qu’il a gardé jusqu’à présent. « Il y a eu un attroupement autour de moi. Une femme s’est approchée et m’a demandé si j’avais déjà mangé. Elle m’a invité chez elle. Je me suis mis à table avec toute la famille. Il y avait très longtemps que je n’avais pas assisté à un vrai repas familial. Je ne savais plus ce que c’était. Je mangeais très vite en plus. Elle m’a ensuite demandé quels étaient mes projets. Elle m’a invité à rester dans sa famille jusqu’à mon départ pour les Etats-Unis. » Il s’agit de la famille Kaluszynski. Nathan et Guitele l’adopteront.

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