Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Trois questions à Guy Senbel*

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07 Février 2008
Guy Senbel, vous inaugurez une nouvelle rubrique de la newsletter du Crif consacrée aux médias. Vous allez lancer officiellement, début 2008, une télévision Guysen TV, qu’on peut déjà recevoir sur le câble. Pourquoi cette télévision ? Est-ce une TV israélienne ? juive ? généraliste ?

Yolanda Gampel* : «Dans la pratique thérapeutique psychanalytique, un des buts à atteindre devrait être la transformation de la survivance en un désir de vivre»

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06 Février 2008
Question : Vous êtes psychanalyste en Israël. Dans votre pratique, vous recevez des enfants, des bébés, des parents en grande difficulté, qu’ils soient palestiniens ou israéliens. Pourriez-vous nous expliquer ce que vous faites ?

Dov Maimon rend hommage à l’Ambassadeur Jacques Huntzinger, défenseur du dialogue entre Chrétiens, Juifs et Musulmans

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06 Février 2008
Question : Vous étiez ces derniers jours à Alexandrie, pour participer aux ateliers interculturels. De quoi s’agit-il ?

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

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