Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Pasteur Florence Taubmann : «L'AJC veut rester vigilante devant les manifestations d'antisémitisme et d'antijudaïsme, comme elle l'a toujours fait»

|
24 Juin 2008
Question : Vous êtes la nouvelle Présidente de l'Amitié Judéo Chrétienne de France. Que ressentez-vous?

Encel à la carte

|
16 Juin 2008
Question : Vient de sortir en librairie votre « Atlas géopolitique d’Israël. Aspects d’une démocratie en guerre », avec cartes et infographies de Alexandre Nicolas (collection Atlas Monde, 80 pages, 15 euros, Edition Autrement). S’agit-il d’ailleurs d’un livre ou d’un atlas géopolitique ? Et qu’est ce qu’un atlas géopolitique ?

Valérie Hoffenberg : «le lien entre les Etats-Unis et Israël est indéfectible»

|
23 Mai 2008
1° Vous êtes la représentante en France de l’American Jewish Committee (l’AJC) qui vient de tenir à Washington son congrès annuel dont l’hôte d’honneur a été cette fois le Premier Ministre François Fillon. Pouvez-vous nous présenter l’AJ, l’une des plus anciennes et des plus connues organisations juives américaines ?

Marcel Blumenzak : «Je ne veux pas être considéré comme un héros»

|
15 Mai 2008
L’homme n’aime pas les honneurs. Il refuse même d’aller chercher la légion d’honneur qui lui est décernée. Marcel Blumenzak est un homme modeste. Il considère que ce qu’il a fait était de son devoir. Téméraire, il s’engage à 17 ans comme volontaire étranger pour aller combattre aux côtés des siens en Israël. « Je ne voulais plus qu’à cause d’un nom, d’une appartenance à une religion quelqu’un soit massacré. »

Maurice Schwartz : «Participer à la naissance de cet Etat a été un élément majeur de notre vie»

|
14 Mai 2008
« J’étais un enfant perdu qui cherchait à se construire. Après la guerre, ce n’était pas évident de retrouver ses marques », explique Maurice Schwartz. Cet ancien combattant de la guerre d’indépendance est parti en Israël pour se reconstruire mais aussi et surtout « parce qu’on avait besoin » de lui.

Simon Drucker : «Etre en vie à 21 ans me semblait une sorte de victoire»

|
13 Mai 2008
Né en 1924 à Paris, Simon Drucker vit avec ses parents originaires de Pologne et son petit frère Isidore. Le père de Simon, sans papier, fabrique des casquettes dans un atelier de la rue des Blancs-Manteaux. « Il nous arrivait souvent d’avoir faim mais nos parents nous donnaient tellement d’amour, de tendresse, que dans les pires moments – et même plus tard devant la mort – l’espoir ne nous abandonnera jamais », déclare Simon.

Pages