Oser un tel titre alarmiste, il y a de cela quelques années, aurait justifié de vouer son auteur aux gémonies et aurait suscité la fureur quasi-générale.
Toute la question est de savoir ce qui explique qu’aujourd’hui seul l’Etat juif, pourtant l’un des rares démocraties d’Asie, soit l’objet d’un boycott «citoyen».