La Fondation de la France Libre, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et la Fondation de la Résistance ont publié une déclaration commune, un « appel à la mobilisation républicaine : votons pour défendre nos valeurs ».
Le Crif condamne avec fermeté le film, publié mercredi 26 juin 2024, aux relents antisémites par le député LFI Sébastien Delogu. Ce film, diffusé sur ses réseaux sociaux, témoigne une nouvelle fois de l’indécence flagrante et de la stratégie outrancière de La France insoumise (LFI).
Dans une récente interview donnée à Nice Matin, le Président du Crif fait part de ses inquiétudes quant aux élections législatives et à la situation politique en France. Il rappelle également combien le climat est délétère pour les Français juifs depuis le 7 octobre.
La mission d’information du Sénat relative à l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur a remis son rapport ce mercredi 26 juin 2024. Celui-ci alerte sur une résurgence et émet onze propositions pour y faire face. Le Président du Crif avait été auditionné dans le cadre de cette mission. Il avait notamment décrit le climat d’intimidation pesant sur les étudiants juifs depuis le 7 octobre, et avait alerté sur le risque de voir peser sur les universités un « climat de terreur intellectuelle », qui constituerait un danger pour la démocratie.
L’une des figures de la droite républicaine en France, Xavier Bertrand, ancien Ministre, Président de la région Hauts-de-France, répond à nos questions en cette période historique, où les résultats des élections législatives apparaissent particulièrement incertains. En réponse aux questions de Jean-Philippe Moinet, celui qui a battu Marine Le Pen au second tour des régionales dans sa région réaffirme « la clarté » de son « combat contre les extrêmes » : « le Rassemblement national (RN) n’est pas majoritaire dans le pays », précise-t-il, ajoutant : « celles et ceux qui ne veulent pas de sa victoire ont entre les mains le sort du pays ». Condamnant à nouveau « la trahison » de Monsieur Ciotti, Xavier Bertrand explique que sa formation « Les Républicains (LR) » peut aujourd’hui à la fois « assurer le changement de politique » et écarter pour le pays les dangers du parti lepéniste : « car l’avenir de notre pays peut basculer ».