Le CRIF en action

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Publié le 23 Décembre 2014

Appel du RMF « pour respect de l’ordre républicain »

Suite à la publication du communiqué du Rassemblement des Musulmans de France, Roger Cukierman, Président du CRIF, s’est entretenu avec Anouar Kbibech, vice-Président du CFCM et Président du RMF. Ils ont convenu de se rencontrer prochainement. Nous reproduisons leur communiqué de presse ci-dessous.

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Publié le 23 Décembre 2014

Vidéos : discours prononcés lors de l’allumage de la Hanoukia au Champ de Mars

Lors de l’allumage de la Hanoukia au Champ de Mars, ont pris notamment la parole : Roger Cukierman, Président du CRIF ; Haïm Korsia, Grand Rabbin de France ; Joël Mergui, Président des Consistoires ; Yossi Gal, Ambassadeur d’Israël ; Anne Hidalgo, Maire de Paris ; Jean Daubigny, Préfet de Région ; Ariel Goldmann, Président du FSJU.

Vous pouvez voir ou revoir leurs interventions ci-dessous.

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Publié le 23 Décembre 2014

Vidéo AKADEM de la conférence de Bruno Lemaire aux Amis du CRIF

Réunion des Amis du CRIF, 18 décembre 2014

« Peut-on encore croire à la France ? » (83 min)

Bruno Le Maire - député - Yves Thréard - journaliste - Roger Cukierman - Président du CRIF

Plan de la conférence :

. Présentation des amis du CRIF, par Roger Cukierman, Président du CRIF (4 min)

. Une France qui craint de disparaitre, par Yves Thréard, journaliste (3 min)

. Angoisse des juifs, échec de la République, par Bruno Le Maire, Député (24 min)

. Rétablir l'autorité de l'Etat - Pouvoir enseigner la Shoah partout (16 min)

. Questions du public : Montée du FN - Salariés et entreprises - Eliminer l'antisémitisme (16 min)

Reportage filmé par AKADEM. 

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Publié le 22 Décembre 2014

Allumage de la Hanoukia au Champ de Mars

Roger Cukierman a participé, dimanche 21 décembre 2014 au Champ de Mars, à un allumage des bougies de Hanuka organisé par le mouvement Loubavitch, en présence de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, de Jean Daubigny, Préfet de Région, du Grand Rabbin de France Haim Korsia, du Président du Consistoire Joel Mergui et du président du FSJU Ariel Goldmann.

Le Président du CRIF a notamment déclare/ « Les valeurs morales de tolérance et de respect d’autrui qu’on nous enseigne dès le berceau s’imposent à chaque Juif où qu’il vive ».

Il a rendu aussi hommage à cette occasion au Rabbin Shmuel Azimov, récemment disparu.

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Publié le 19 Décembre 2014

Le CRIF au Diner de Charité en faveur des Chrétiens d' Irak

Le Dr Gil Taieb, vice Président du CRIF, a pris part jeudi 18 décembre 2014 au premier Diner de Charité en faveur des Chrétiens d' Irak, organisé par la communauté Syro-Chaldéenne de France.

Plus de 1000 personnes, des élus et des représentants des églises de France se sont réunis à Sarcelles afin d'exprimer leur solidarité avec la population des Chrétiens d'orient, menacée, violentée et assassinée par les envahisseurs islamiques de Daesh.

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Publié le 19 Décembre 2014

Plus de 300 personnes pour dialoguer avec Bruno Le Maire, à l'invitation des Amis du CRIF, le 18 décembre

Animée par Yves Thréard, Directeur adjoint de la Rédaction du Figaro et en présence de Delphine Burklï, Maire du 9e arrondissement de Paris, la rencontre a été l'occasion de dialoguer avec Bruno Le Maire, ancien Ministre et Député UMP de l'Eure. Selon lui, on doit encore croire en la France. La classe politique doit s'astreindre à ce qu'elle exige des citoyens. Il propose que l'UMP s'engage sur le non cumul et se limite à trois mandats électoraux. Pour certains, les questions identitaires prennent le dessus sur les questions économiques. il réfute cette position et estime que la droite doit refuser les discours qui excluent mais il faut parler de l'identité nationale en s'appuyant sur l'histoire de France. 

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Publié le 16 Décembre 2014

Assemblée Générale du CRIF

Lundi 15 décembre 2014, les membres de l'Assemblée Générale du CRIF se sont réunis pour une Assemblée statutaire du CRIF. Le philosophe Pascal Bruckner était l'invité de cette Assemblée Générale. Il a dressé un tableau de l'antisémitisme en 2014, qualifiée "d'année logique compte tenu de tout ce qui s'était passé avant" notamment depuis le début des années 2000, insistant sur les nouvelles formes d'antisémitismes, à savoir l'antisionisme comme "permission d'être antisémite et démocrate en même temps" (Vladimir Jankélévitch), et revenant sur l'invention du concept d'islamophobie pour répondre à trois principes d'intouchabilité, d'équivalence et de substitution. Pour terminer, il a exhorté le CRIF à la double politique du dialogue et du poing.  En conclusion, en tant que "compatriote de culture chrétienne" s'adressant à la communauté juive, il a terminé son propos sur l'appel "ne nous laissez pas seuls !"

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Publié le 12 Décembre 2014

Rassembler la Communauté

Au cours des derniers jours, des messages ont circulé, notamment sur les réseaux sociaux pour fustiger le CRIF et son Président. Plusieurs des prétendus signataires de ce texte, notamment les CCJ 78, 94 et 95, ont tenu à se désolidariser d'un contenu qu'ils n'avaient pas lu avant qu'il ne circule sous leur signature. Nous ne pouvons que regretter ces manœuvres indignes au moment où la communauté juive a besoin de rassembler toutes ses forces.

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Publié le 12 Décembre 2014

Se mobiliser contre l’antisémitisme

Une nouvelle réunion du Think Tank s’est tenue le 11 décembre 2014. Plusieurs intellectuels ont été invités, en fonction de leurs travaux, de leur compétence respective, ou de leur champ d’investigation et d’observation ou de réflexion

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Publié le 11 Décembre 2014

Roger Cukierman : « Il faut serrer les rangs et éviter de se critiquer les uns les autres »

Propos recueillis par Laetitia Enriquez, entretien publié dans Actualité Juive le 11 décembre 2014

Retour avec le Président du CRIF sur la façon dont l’instance représentative de la communauté juive s’est positionnée dans la lutte contre le vote à l’Assemblée nationale de la résolution relative à la reconnaissance de l’État palestinien.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Richard Prasquier, de retour de la réunion de l'AIPAC: «Obama: main de fer dans un gant de velours»

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10 Mai 2009
Vous venez de participer à la réunion annuelle de l'AIPAC. Avant la réunion prévue pour le 18 mai entre Obama et Netanyahou, peut-on prévoir un changement ou une continuité dans les relations entre Israël et les Etats-Unis?

Ce qui doit être bien clair est le caractère géostratégique fondamental des relations israélo-américaines. Le lien entre les deux pays est à leur commun avantage: dans les Etats-Unis, Israël trouve non seulement un allié et un pays dont l'amitié s'est manifestée sans discontinuer depuis près d'une cinquantaine d'années, mais aussi un garant de dernier recours. Inversement en Israël, les Etats-Unis trouvent dans une région particulièrement difficile et mouvante, un partenaire pour le développement scientifique, militaire ou non militaire, un pays sur lequel ils peuvent compter sans arrière-pensées et une démocratie aussi sourcilleuse qu'est la démocratie américaine. Aucun Etat dans cette partie du monde ne remplit ces contraintes de cette façon.
De ce fait, il n'est pas étonnant d'entendre les hommes politiques qui se sont exprimés à l'AIPAC, depuis le vice-président Jo Biden jusqu'aux très nombreux parlementaires ces déclarations très simples, soutenir Israël n'est pas seulement dans l'intérêt d'Israël, c'est dans l'intérêt des Etats-Unis. La continuité dans les relations parait évidente à tous ceux à qui j'ai parlé.
Le président Obama n'est pas perçu comme un idéaliste naïf et angélique, mais comme un homme parfaitement conscient des enjeux réels et prêt à faire face avec détermination, une fois que les voies de la négociation paraissent closes. Main de fer dans un gant de velours.....L'équipe qui se trouve autour d'Obama est composée de spécialistes reconnus qui ont travaillé sur le conflit israélo-palestinien depuis plusieurs années, mais qui l'envisagent dans le contexte global d'un monde inquiétant où la nucléarisation militaire de l'Iran d'une part, l'angoissante évolution de la zone AFPAK (Afghanistan Pakistan) d'autre part , sont associées au développement de "trous noirs" politiques -des zones de non-droit, champs de manœuvre possible de tous les terrorismes.
Il faut remarquer, sans nier évidemment de possibles tensions avec le gouvernement israélien, que la réflexion politique de Benjamin Netanyahu a toujours également été dominée par son approche globale du phénomène de déstabilisation du monde démocratique par l'Islamisme radical et que cela devrait être un point de rencontre fort entre les deux administrations.

Comment les militants de l'AIPAC perçoivent-ils le refus du gouvernement de Netanyahou d'envisager la création d'un Etat palestinien?

En ce qui me concerne, je suis, je l'ai toujours dit et cela a été répété au CRIF à de maintes fois, en faveur de la création d'un Etat palestinien.
On sait que la majorité des israéliens, et la majorité des Juifs américains partagent cette idée. Cela étant, l'histoire de ces dernières années nous interdit l'angélisme. La question n'est pas tant Etat palestinien ou non que "quel" Etat palestinien.
Un Etat qui ne reconnaitrait pas l'existence à ses côtés d'un Etat juif, un Etat qui réclamerait un contrôle total sur ses choix militaires ou ses alliances et qui pourrait permettre l'installation sur son sol, sous prétexte d'indépendance de milices vouées à la destruction d'Israël n'est pas cet Etat que la majorité de nous espérons.
Je pense que c'est exactement la position des membres de l'AIPAC, et je pense que c'est aussi la position de la très grande majorité des Israéliens, y compris de la plupart de ceux qui se retrouvent actuellement au gouvernement: il est artificiel de trop exagérer les différences.
Le Président Pérès a dit dans son discours "Benjamin Netanyahou a été mon rival politique, il est aujourd'hui mon Premier Ministre. Il connait l'histoire et en Israël, celui qui connait l'histoire ne peut que rechercher la paix. Je suis convaincu que Benjamin Netanyahou recherche la paix". Souhaiter la création d'un Etat palestinien pacifique et envisager sans arrière pensée que cet Etat puisse être contrôlé par un Hamas qui n'a rien abandonné des principes qui régissent sa charte sont deux choses bien différentes. C'est là que se situe la séparation entre les "réalistes" et les "utopistes" qui sont des minoritaires aussi brillants dans la dialectique qu'irresponsables dans leurs projets politiques.

Avez-vous le sentiment d'une évolution des Américains dans leur approche face à l'Iran?

Le sentiment qui prévalait à l'AIPAC était que les offres de négociation du Président Obama ne procédaient nullement d'une position de faiblesse. L'Iran est dans une situation économique catastrophique. La menace d'un blocage de l'accès de l'Iran aux produits pétroliers raffinés (on sait que l'Iran importe 40% de son essence....) ainsi que des menaces fortes sur son système bancaire sont des armes que l'administration américaine pourrait faire peser et dont les effets peuvent être dissuasifs.

Vous avez donné devant un parterre de responsables américains une conférence à l'Ambassade de France sur la situation des Juifs en France. Quelle est actuellement la perception aux Etats Unis de la politique proche-orientale de la France et de la situation des Juifs de France?

Il reste chez beaucoup d'entre eux l'idée qu'il est particulièrement difficile d'être Juif en France.
Mais, pour moi qui rencontre depuis des années les Juifs américains et leurs organisations, je vois clairement les perceptions se modifier, même si l'inertie des comportements est plus grande que ce qu'on aurait espéré. Ils savent aujourd'hui que s'il y a de l'antisémitisme en France, il y en a aussi dans d'autres pays européens (et pas seulement européens d'ailleurs) et que l'antisionisme en est un puissant vecteur. Je me suis attaché à leur rappeler que la France avait été le premier pays à émanciper les Juifs, le premier pays à leur accorder la plénitude des droits, à en faire des députés et des ministres dès la première partie du XIXe siècle, que le travail de mémoire sur la Shoah avait été fait de façon exhaustive au fil de ces vingt dernières années et que les derniers gouvernements, quelle que fût leur orientation politique avaient été intransigeants sur l'antisémitisme. Les américains que j'ai rencontrés savent par ailleurs que la position du gouvernement français par rapport à Israël est une position d'amitié. Mais, cela est frappant, et je l'ai retrouvé également au Musée de l'Holocauste à Washington où j'ai fait une autre conférence, il y a une perception aiguë de la montée de la haine contre les Juifs impulsée par les mouvements islamistes radicaux qui cherchent à la répandre dans tout le monde musulman. Les américains pensent que la France, du fait de sa composition démographique, est au premier plan dans ce courant. Quoi qu'on en pense, cela nous impose des responsabilités particulières.....

Photo : D.R.

Grenoble. Jean-Luc Medina passe la main…

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07 Mai 2009
Question : Le 14 mai, le CRIF de Grenoble – Isère invite André Vallini, député et Président du Conseil général de l’Isère. Il présidera le 9ème dîner régional de votre délégation. Qu’attendez-vous de lui ?

Cyrille Fleischman en russe dans le texte

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06 Mai 2009
Né en 1941 à Paris, Cyrille Fleischman a quitté depuis plusieurs années le barreau pour prendre avec succès la plume. Depuis 1987, (« l’attraction du bal ») il publie régulièrement de nombreuses nouvelles, recueillies dans plus d’une dizaine d’ouvrages qui évoquent le petit monde ashkénaze parisien des années 50.

Cyrille Fleischman a été récompensé par le prix d’Académie au titre des grands prix de l’Académie française et le prix Max Cukierman, pour son œuvre qui amène ses lecteurs rêver dans le triangle République-Saint-Paul-Bastille.

Cyrille Fleischman, vous venez d’être traduit en russe. Avez-vous déjà été traduit dans d’autres langues ? De pouvoir être lu en russe suscite quel sentiment chez vous ?

On peut déjà me lire en allemand et en tchèque.
Deux de mes livres « rendez-vous au métro Saint-Paul » et « nouveaux rendez-vous au metro Saint-Paul » sont édités par Text, un éditeur moscovite. J’en suis heureux car j’espère ainsi avoir des lecteurs russophones.en Israël !
Je n’oublie pas qu’avant de venir s’installer à Paris dans les années 1880, mon grand-père paternel, originaire de la région de Riga, était bien sur yiddishophone. Mais aussi culturellement russophone.
Les ashkénazes ne peuvent pas complètement oublier le monde slave d’où ils viennent en partie. Comme mes amis et lecteurs sépharades ne peuvent et ne doivent pas oublier la culture profonde dont ils sont issus.
Ce, au-delà des mondes actuels dont ils, dont « nous » pour ne pas parler comme le racha de Pessah, dont « nous » sommes tous partie prenante. Tant Israël, nouveau creuset de cultures que les Etats-Unis au début du siècle dernier, ou la France contemporaine, modèle culturel original.

Auriez-vous aimé écrire en yiddish ?

Non, à cause de mon accent français !

Vous avez créé une multitude de personnages. Avez-vous un préféré, pour lequel vous avez une tendresse particulière ?

Je les aime tous ! Surtout ceux qui peuvent dire : « Fleischman ? Quel intérêt ? Montrez-moi seulement une fois ce qu’il a ecrit. Je ferai tout de suite cent mille fois mieux que lui ! »

Propos recueillis par Haim Musicant

Zrihen : «Je suis fier d’avoir été l’instigateur de la remise du doctorat honoris causa de Bar Ilan au père Desbois»

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06 Mai 2009
Durant la visite du Pape en Israël, le père Patrick Desbois se verra décerner le doctorat honoris causa de l’université Bar-Ilan. Une initiative due à Joseph Zrihen, longtemps vice-président du CRIF, et fondateur de l’association française des amis de l’université de Bar-Ilan, encouragé dans cette démarche par Richard Prasquier qui assistera le 12 mai à la cérémonie.

Raphaël Haddad : pour que l’antiracisme soit plus qu’une attitude de façade

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13 Mars 2009
A l’occasion de l’organisation des 1ères Assises Nationales de la lutte contre les préjugés, dimanche 15 mars 2009 à partir de 10h30 à l'ESG, à Paris, la newsletter du CRIF a rencontré Raphaël Haddad, président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), principal initiateur de cet évènement.

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