Le CRIF en action

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Publié le 28 Juillet 2014

Francis Kalifat : « On ne peut pas limiter ces actes à des voyous ou à des casseurs »

Francis Kalifat, vice-Président du CRIF, était l’invité du 20 heures de BFMTV, dimanche 27 juillet 2014. 

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Publié le 28 Juillet 2014

Paris : manifestation devant Notre-Dame pour les Chrétiens d'Irak

Publié dans le Parisien le 27 juillet 2014

À l'appel du comité de soutien aux Chrétiens d'Irak (CSCI), plusieurs centaines de personnes, des milliers selon les organisateurs, se sont rassemblées ce dimanche 27 juillet 2014 à Paris sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame. Le Grand Rabbin Olivier Kaufmann, Directeur du SIF, et Gil Taieb, vice-Président du CRIF, ont participé à cette manifestation.

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Publié le 28 Juillet 2014

Manifestation pro-israélienne à Marseille

Publié dans le Monde le 27 juillet 2014

Entre 2000 et 6000 manifestants se sont rassemblés à Marseille, dans le sud de la France dimanche 27 juillet 2014, en soutien à Israël. Yves Moraine (UMP), Maire des 6e et 8e arrondissements de la ville de Marseille, a défilé avec le cortège.

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Publié le 24 Juillet 2014

Le CRIF est choqué par la résolution de la Commission des droits de l'homme de l'ONU

Le CRIF est choqué par la résolution votée le 23 juillet par la Commission des droits de l'homme de l'ONU qui rend Israël seul responsable de la mort des palestiniens et ne mentionne pas une seule fois la responsabilité du Hamas dans la mort des civils. Israël y est qualifiée de "puissance occupante" alors même qu'elle a quitté le territoire de Gaza en 2005. 

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Publié le 24 Juillet 2014

Le CRIF salue la déclaration conjointe des Ministres français, allemand, italien suite à la vague d¹antisémitisme qui sévit en Europe

Le Crif salue la déclaration des ministres des affaires étrangères français,  allemand et italien concernant les dernières attaques contre des Juifs en Europe. Il espère que cette déclaration marquera une prise de conscience salutaire pour une démarche européenne de coopération renforcée contre le développement de l'antisémitisme.

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Publié le 24 Juillet 2014

Discours d’Eliane Klein, Déléguée du CRIF Centre, lors de la Cérémonie de commémoration à la mémoire des victimes des persécutions antisémites et raciste

Dimanche 20 juillet 2014

En ce jour de commémoration officielle à la mémoire des victimes des persécutions antisémites et racistes - les Juifs et les Tziganes- commises par l'Etat français sous l'autorité du gouvernement de Vichy et en hommage aux Justes de France, je dédie mes paroles aux "Justes des Nations", ces hommes et ces femmes de toutes origines, souvent modestes, connus ou anonymes, qui ont sauvé des Juifs, en particulier des enfants, pendant l'occupation, malgré les risques encourus. Ils témoignent que les êtres humains  peuvent  avoir d'autres options que la soumission à un Régime criminel.

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Publié le 23 Juillet 2014

Cukierman : « Ce nouvel antisémitisme peut mener jusqu’au départ de tous les Juifs »

Propos recueillis par Yohann Taïeb – © Le Monde Juif .info, publié le 20 juillet 2014

À l’occasion de la commémoration dimanche à Paris du soixante-douzième anniversaire de la rafle du Vél’ d’Hiv’, le Premier ministre Manuel Valls a livré un discours vibrant contre l’antisémitisme, très attendu, alors que des violences ont eu lieu samedi dans le quartier Barbès en marge d’une manifestation anti-israélienne interdite. Présent aux côtés du chef de l’exécutif, le Président du CRIF, Roger Cukierman, s’est alarmé des « lourds nuages » qui planent au-dessus de la communauté juive française. Le Monde Juif .info l’a interrogé :

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Publié le 22 Juillet 2014

Roger Cukierman à Sarcelles et Garges-Lès-Gonesse

Roger Cukierman est resté en liaison avec les autorités nationales et locales dimanche 20 juillet 2014 pour suivre minute par minute les émeutes en cours à Sarcelles et à Garges. Il s'est rendu sur place lundi matin.  Il a rencontré le préfet Jean Luc Névache, le Député Maire François Pupponi, ainsi que les responsables de la Communauté juive, notamment René Taieb, Président du CCJ du Val d'Oise et Délégué du CRIF, le Grand-Rabbin Laurent Berros ainsi que le président de la Communauté de Sarcelles, les vice-présidents de la communauté de Garges.

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Publié le 22 Juillet 2014

Attaques antisémites : l'appel au calme de Cukierman et Chalghoumi

Propos recueillis par Vincent Mongaillard et Philippe Martinat, publié dans le Parisien le 21 juillet 2014

Roger Cukierman et Hicham Chalghoumi lancent un appel au calme, après les émeutes de ce week-end en marge de manifestations pro-palestiniennes. Réunis par Le Parisien - Aujourd'hui en France, le Président du CRIF et l'imam médiatique de Drancy, appellent à un dialogue entre communautés apaisé, loin du conflit israélo-palestinien.

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Publié le 21 Juillet 2014

72ème anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv

Comme chaque année, le CRIF était co-organisateur de la cérémonie anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv dans le cadre de la Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes » de France.

C'est le Premier Ministre Manuel Valls qui présidait la cérémonie de cette année.  Beaucoup de personnalités, dont Mme Sylvie Hubac, Directrice du Cabinet du Président de la République Les personnalités et le public, Mme Anne Hidalgo, Maire de Paris, le Grand Rabbin de France Haim Korsia, plusieurs ministres, de nombreux présidents et représentants  d'institutions juives dont Joel Mergui, Président du Consistoire central de France et du Consistoire de Paris, David de Rothschild, Président de la FMS, Ariel Goldmann, Président du FSJU, Jean-François Guthman, Président de l'Osé, Serge Dahan, Président du B'nai B'rith France, et de très nombreuses personnes qui étaient venues témoigner de leur attachement à la mémoire de cet épisode douloureux de l'histoire de la France.

 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Michel Taubmann, journaliste, rédacteur en chef du Meilleur du Monde : «Nous sommes tous des démocrates iraniens !»

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26 Juin 2009
La revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante organisent le lundi 29 juin à 18 heures (mairie du 13ème arrondissement de Paris - 1, place d'Italie) un grand colloque : « Iran, le choix démocratique », avec le soutien du CRIF, parmi de nombreuses autres organisations et personnalités, et avec la présence d’Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la démocratie et les droits de l’homme ; Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran ; Chahla Chafiq, sociologue et féministe ; Chahdortt Djavan, écrivain et féministe ; Setâre Enayatzadeh, universitaire ; Prince Reza Pahlavi ; Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003 (1). Qu’attendez-vous de ce colloque ?
Réponse : Je crois qu’il est très important que pour la première fois depuis la révolution islamique, les anciens adversaires ou leurs enfants, je pense notamment à Mohsen Sazegara qui, en 1979, jeune étudiant révolutionnaire, était au côté de Khomeiny, à Neauphle-le-Château et à Reza Pahlavi, fils du Shah d’Iran, chassé du pouvoir par la Révolution islamique. Mohsen Sazegara a été l’un des fondateurs des Gardiens de la Révolution, terrible organisation politico-militaire, qui est encore aujourd’hui, l’un des derniers soutiens du régime.
Reza Pahlavi, lui, se consacre depuis trente ans, seul et sans moyen, car il est abandonné de tous, à instaurer la démocratie dans son pays. Chacun de son côté, Mohsen Sazegara et Reza Pahlavi, ont fait un bout du chemin, ont connu des remises en question et des souffrances. Mohsen Sazegara après avoir occupé de hautes fonctions dans la République Islamique est devenu un leader du mouvement réformateur. Il l’a payé de plusieurs mois de prison, et de tortures physiques et morales. Ces deux hommes se retrouvent aujourd’hui pour soutenir la révolte du peuple iranien et ils sont tous les deux à la fois pour la démocratie et la laïcité. On peut en dire autant de tous les Iraniens qui seront à la tribune. Je pense notamment aux femmes comme Chahdortt Djavan, Chahla Chafiq et Ladan Boroumand, qui, en tant que femmes, furent les premières victimes de l’obscurantisme religieux.

La situation en Iran est grave. Que traduit la crise actuelle ? Peut-on parler de situation prérévolutionnaire ?
Réponse : Cette situation n’est absolument pas surprenante pour ceux qui, comme moi, suivent les événements en Iran, depuis plusieurs années. Nous avons tous relevé un décalage croissant entre une société civile aspirant à la démocratie et l’assouplissement à la disparition des contraintes religieuses imposées par le système.
Je vous rappelle que le livre d’entretiens que j’ai publié avec Reza Pahlavi s’appelle « L’heure du choix », (Ed. Denoël, février 2009, 17 euros), ce qui signifiait clairement que pour lui, la question de la démocratie se posait à court terme pour l’Iran. Ce titre a suscité beaucoup de sarcasmes à l’époque. Il y a encore quelques semaines, des observateurs vantaient la solidité du régime iranien et louaient ses capacités à organiser des élections démocratiques. Ce qui est clair, c’est que nous sommes confrontés à deux crises. La première oppose une grande partie de la société iranienne au pouvoir en place et la deuxième est interne au pouvoir. La jonction entre une partie de l’appareil religieux, politique et militaire et les protestataires entrainera à terme une crise qui débouchera non pas sur une réforme mais sur un dépassement de la République islamique. Il est très significatif d’ailleurs de constater qu’un homme comme Moussavi, ancien Premier ministre de Khamenei et de Khomeiny (entre 1981 et 89) dans la période la plus répressive du régime se trouve aujourd’hui emporté bien loin de ses intentions initiales dans un affrontement avec le régime dont il est issu.

La jeune Neda, qui a été tuée d’une balle en pleine poitrine et dont le film de sa mort fait le tour du monde sur le web, est-elle devenue le symbole même de la résistance en Iran ?
Réponse : Les images terribles de ce carnage, de cet acharnement brutal et inhumain sur cette jeune fille symbolise la réalité de la République islamique. Dans le livre que je publie très bientôt chez Denoël (« Histoire secrète de la révolution iranienne »), avec mon ami l’intellectuel iranien Ramin Parhan, nous montrons avec des documents inédits que dès le premier jour, la révolution islamique s’est distinguée par sa brutalité, sa cruauté, et la haine de tous ceux qui était différent et notamment les femmes. Ce fut une révolution contre les femmes et il est assez malheureusement logique que cette révolution qui a commencé contre les femmes se termine par le massacre d’une jeune femme sans défense. Toutefois, le symbole de la nouvelle révolution démocratique dont nous voyons les prémices actuellement, ce sont ces beaux visages de femmes iraniennes, qui enlèvent leur voile et droit dans les yeux défient les Ayatollahs obscurantistes et leurs miliciens barbares. Ce sont ces visages de femmes dévoilées iraniennes qui sont aujourd’hui non seulement l’espoir de l’Iran mais l’espoir de toux ceux qui pensent -à l’encontre des partisans de la guerre des civilisations- que les valeurs de la déclaration de 1948 des Droits de l’Homme, que l’égalité des hommes et des femmes, que la séparation du politique et du religieux, ne sont pas les produits de l’impérialisme occidental, mais sont les valeurs de l’Humanité toute entière.

Propos recueillis par Marc Knobel

Photo (Michel Taubmann) : D.R.

Note :
1) Pour des raisons de place et de sécurité: Inscription obligatoire à cette adresse email avant le 26 juin: m.taubmann@free.fr

Michel Taubmann est également l’auteur de « La bombe et le Coran, une bibliographie de Mahmoud Ahmadinejad », Ed. du moment, 2008, 19 euros 95.

Elie Korchia, Président du Conseil des Communautés Juives des Hauts de Seine, délégué du CRIF pour le 92 : Tous pour Shalit !

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22 Juin 2009
Question : Il y a trois ans de cela, le jeune franco-israélien était kidnappé dans la bande de Gaza. Depuis, il est depuis sans que l’on sache ce qu’il est devenu. Que vous inspire ce fait tragique ? Et, pourquoi vous mobilisez-vous pour sa libération ?
Réponse : le sort d’un otage ne saurait laisser indifférent. Guilad Shalit est depuis plus de 1000 jours dans des conditions que l’on peut imaginer, particulièrement difficiles. Bien évidemment, la communauté juive dans son ensemble est attentive et inquiète du sort de ce franco-israélien. Il m’apparaît important, alors que nous dépassons la troisième année de sa détention (jeudi 25 juin 2006), que des villes du département des Hauts-de-Seine puissent se mobiliser, dans un même élan solidaire pour la libération de cet otage, et dans le prolongement du discours et des annonces précédemment faites par le Président de la république.

Question : Estimez-vous que votre département saura se mobiliser pour le jeune Guilad ?
Réponse : Je vous rappelle que j’ai sollicité un certain nombre d’élus sur cette question dès après mon élection dans les communautés juives des Hauts-de-Seine (15 mars 2009). J’ai eu le plaisir de recevoir un écho très positif quant à cette démarche et je me suis rendu compte que le département des Hauts-de-Seine pouvait à nouveau jouer un rôle moteur, pour ne pas dire pilote, dans un engagement pour la libération de Guilad Shalit. C’est ainsi qu’à l’occasion de la grande soirée de gala qui a réuni toutes les communautés juives des Hauts-de-Seine -le 17 juin 2009, au Haras de Jardy (Marne la coquette)- que j’ai annoncé que sept villes du département ont accepté d’apposer ce jeudi 25 juin 2009, le portrait de Guilad dans leur mairie. J’en profite aussi pour remercier de son soutien l’association « Soutien Français à Guilad Shalit, qui nous a aidé à délivrer les portraits de Guilad dans les différentes mairies et, plus largement, tous ceux qui dans le milieu associatif, politique ou communautaire sont engagés dans ce combat.

Question : Pourriez-vous nous dire quelles sont les villes du département qui vous suivent à l’heure actuelle dans cette démarche citoyenne ?
Réponse : En quelques jours, dans la préparation de la journée, certaines villes se sont mobilisées rapidement : Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Medon, La Garenne Colombes, Puteaux, Neuilly sur Seine, Suresnes.

Question : Pourriez-vous me donner un exemple plus particulier ?
Réponse : Oui, tout à fait. Si l’engagement des différentes villes est d’apposer le portrait de Guilad dans la journée du jeudi 25 juin, je tiens à remarquer que ce même jour, à la mairie d’Issy-les-Moulineaux, André Santini, maire de la ville, organisera une cérémonie conséquente autour de cet événement, et en présence de nombreux élus.

Question : D’autres villes du département se joindront-elles prochainement à cette initiative ?
Réponse : J’espère vivement que ce projet -qui devient réalité- pourra être partagé prochainement dans d’autres villes car le soutien exprimé pour la libération d’un otage dépasse largement tous les clivages politiques ou partisans.

Question : Souhaitez-vous que cette action suscite un engouement dans d’autres départements et que seriez-vous prêts à faire en ce sens ?
Réponse : Je suis à l’entière disposition de tous les responsables communautaires tant en Ile-de-France que dans les régions, pour faire en sorte que cette expérience serve de modèle et puisse être dupliquée ailleurs.

Georges Bensoussan : A quoi sert de plaider pour un enseignement qui fasse sens si on ferme les yeux sur ce qui se passe en France en 2009 ?

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19 Juin 2009
George Bensoussan est historien, responsable éditorial de la revue d’Histoire de la Shoah

André Kaspi, historien, spécialiste des Etats-Unis : Obama : ce qui va changer

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12 Juin 2009
Les faits et gestes du président Barack Obama sont scrutés partout dans le monde et les déplacements à l’étranger du nouveau président américain, suscitent énormément de commentaires et d’intérêts. Comment l’expliquez-vous ?

Trois questions au docteur Joseph Zrihen, vice-président du FSJU

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12 Juin 2009
- Du dimanche 7 juin au mardi 10 juin s’est tenu à l’Espace Rachi un séminaire Européen sur l’Action Sociale. Pouvez-vous nous en parler ?

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