Le CRIF en action

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Publié le 3 Décembre 2014

Vidéo - LCP : Ça Vous Regarde – « Le débat : Etat palestinien : une résolution pour rien ? »

Roger Cukierman, Président du CRIF, était l’invité d’Arnaud Ardoin, mardi 2 décembre 2014, sur la chaine LCP, pour un débat auquel ont pris part Jean Glavany, Député PS des Hautes-Pyrénées et président du groupe d’amitié France-Afrique du Sud ; Meyer Habib, député UDI des Français établis hors de France ; et Hael Al Fahoum, Ambassadeur et Chef de la Mission de Palestine en France. Vous pouvez voir ou revoir ce débat ci-dessous.

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Publié le 3 Décembre 2014

Roger Cukierman sur France Info: « Nous souffrons d’un cancer : l’antisémitisme est une maladie de la France et de l’Europe »

Le Président du CRIF était interrogé ce mercredi 3 décembre sur France Info.

Vous pouvez écouter ou réécouter cette interview ci-dessous.

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Publié le 2 Décembre 2014

La délégation du CRIF en Israël : résumé du 4e jour

Ambassade de France

L'Ambassadeur de France, SE Patrick Maisonave avait tenu à inviter Roger Cukierman et la délégation à une soirée marquant la fin de cette mission. L'Ambassadeur a rappelé la position française du souhait de deux Etats côte à côte et l'importance de prendre sérieusement en compte le nombre toujours plus important de français émigrant en Israël.

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Publié le 2 Décembre 2014

Projet de résolution sur la reconnaissance d’un Etat palestinien : la stratégie choisie par le CRIF

Par Robert Ejnès, Drecteur exécutif du CRIF

Réponse à un membre de l'Association des Amis du CRIF, qui reprochait au CRIF son absence lors de la manifestation du 28 novembre devant l'Assemblée Nationale.

"Le CRIF n’a pas participé à cette manifestation.  En effet, la stratégie choisie par le CRIF n’était pas la manifestation! L’expérience nous a montré que la manifestation n’est pas – n’est plus – un bon facteur de mobilisation. Le nombre de participants est faible et l’image de la communauté juive n’est certainement pas convaincante pour nos élites politiques.  L’exemple de cette semaine confirme notre opinion.

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Publié le 1 Décembre 2014

La délégation du CRIF en visite en Israël : résumé du 3e jour

Rencontre avec Reuven Rivlin, Président de l'Etat d'Israël.

Le Président de l'Etat d’Israël a reçu la délégation dans sa résidence pendant plus d'une heure.  Dans une longue déclaration préliminaire, le Président a longuement expliqué son point de vue sur la modification proposée pour la loi fondamentale.  Il a également exposé sa vision pour la paix avec les Palestiniens, soulignant les excellents contacts qu'il a toujours eus avec Mahmoud Abbas, avec lequel il parle … en arabe.

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Publié le 28 Novembre 2014

Le CRIF à la Maison de France

Patrick Maisonnave, ambassadeur de France en Israël :

« Le 27 novembre, j’ai eu l’honneur et le plaisir d’accueillir une nouvelle fois, à la Maison de France, une délégation du bureau exécutif du CRIF, conduite par son Président, Roger Cukierman. Le CRIF, fort des personnalités qui se sont succédées à sa tête et dans ses instances, est aussi devenu un acteur majeur de la relation qui unit la France et Israël ».

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Publié le 28 Novembre 2014

Roger Cukierman sur I24 News

Le Président du CRIF était l’invité du « Grand Direct » d’I24 News, mercredi 26 novembre 2014.

Vous pouvez voir ou revoir cet entretien ci-dessous.

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Publié le 28 Novembre 2014

Un séminaire organisé par le CRIF : « Que devons-nous faire pour lutter contre l’antisémitisme, le racisme et la haine sur le Net ? »

Par Marc Knobel, Directeur des Etudes du CRIF

Pour faire le point et entendre des experts dans le domaine de la cybercriminalité : des avocats, des magistrats, policiers, sociologues, politologues, des professionnels de l’Internet (Facebook et Google), représentants de Ministères se sont réunis pour un déjeuner – séminaire organisé par le CRIF, mercredi 19 novembre 2014, en présence de Roger Cukierman, Président du CRIF ; Francis Kalifat et Yonathan Arfi, vice-Présidents ; Robert Ejnès, Directeur exécutif ; Anaïs Juin, Responsable de la cellule digitale, et Marc Knobel, Directeur des Etudes du CRIF, qui a animé cette rencontre de près de quatre heures. Ont participé à ce séminaire :  Philippe Allouche, Directeur général de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah (FMS) ; Nathalie Becache, Procureur de la République de Créteil ; Thierry Berthier, Maître de conférences de mathématiques à l'université de Limoges ; Laurent Burin des Roziers, Conseiller auprès du Ministre de l’Intérieur, chargé de la prospective et des cultes ; Me Philippe Coen, Président de l’ECLA (European Company Lawyers Association), Président fondateur de l’Initiative de Prévention de la Haine ; Isabelle Cohen, Chargée de mission à la Fondation pour la Mémoire de la Shoah (FMS) ; Jean Corcos, Président-délégué de la Commission des relations avec les Musulmans du CRIF; Me Michaël Ghnassia, Avocat de SOS Racisme ; Thibault Guiroy, Juriste Google France ; Régis Guyot, Préfet, Délégué interministériel à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme depuis la création de cette fonction en février 2012 ; Bernard Jouanneau, Avocat, Président de Mémoire 2000 ; Hervé Kabla, Directeur général de Be Angels, agence de communication ; Pierre-Yves Lebeau, Commandant de police, chef du projet PHAROS qu’il a mis en place depuis 2006 au sein de l’OCLCTIC (Direction centrale de la Police judiciaire / Sous-Direction de la Lutte contre la Cybercriminalité), pour centraliser les signalements de contenus illicites d’Internet ; Me Stéphane Lilti, Avocat de l’UEJF et de J’ACCUSE, auteur des principales procédures contre les fournisseurs d’accès en France ; Myriam Quemener , Magistrat, Avocat général près la cour d’Appel de Versailles, membre de la Commission parlementaire sur le numérique, auteur d’articles et d’ouvrages relatifs à la cybercriminalité, expert pour le conseil de l’Europe et l’Union européenne ; Ron Refaeli, Directeur général du Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ) ; Delphine Reyre, Directrice des Affaires Publiques de Facebook ; Me Philippe Schmidt, Président de l’INACH (International network against cyberhate) dont la mission est de combattre la discrimination et la haine sur Internet ; Alice Tajchman, Maître de conférences des universités, ancienne Conseillère technique au cabinet de Jack Lang, Ministre de l'Education nationale, Secrétaire générale de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, Présidente de la Commission enseignement à la FMS, Présidente de la Commission pédagogie et formation au Mémorial de la Shoah.

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Publié le 27 Novembre 2014

Le Président du CRIF félicite Nicolas Sarkozy

Roger Cukierman a appelé Nicolas Sarkozy pour le féliciter de sa position lucide et courageuse en demandant à l’UMP de voter contre la reconnaissance de l’Etat palestinien à l’Assemblée nationale demain.

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Publié le 27 Novembre 2014

Le CRIF rencontre la presse française en Israël

Le Président du CRIF Roger Cukierman a rencontré, lundi 24 novembre 2014, les correspondants de la presse française en Israël. Une dizaine de journalistes, dont les rédacteurs du Monde, du Figaro, du Point, de Radio France, de TF1 et de France 2 se sont joints à la délégation du CRIF actuellement en visite en Israël pour cet échange. 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Michel Taubmann, journaliste, rédacteur en chef du Meilleur du Monde : «Nous sommes tous des démocrates iraniens !»

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26 Juin 2009
La revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante organisent le lundi 29 juin à 18 heures (mairie du 13ème arrondissement de Paris - 1, place d'Italie) un grand colloque : « Iran, le choix démocratique », avec le soutien du CRIF, parmi de nombreuses autres organisations et personnalités, et avec la présence d’Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la démocratie et les droits de l’homme ; Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran ; Chahla Chafiq, sociologue et féministe ; Chahdortt Djavan, écrivain et féministe ; Setâre Enayatzadeh, universitaire ; Prince Reza Pahlavi ; Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003 (1). Qu’attendez-vous de ce colloque ?
Réponse : Je crois qu’il est très important que pour la première fois depuis la révolution islamique, les anciens adversaires ou leurs enfants, je pense notamment à Mohsen Sazegara qui, en 1979, jeune étudiant révolutionnaire, était au côté de Khomeiny, à Neauphle-le-Château et à Reza Pahlavi, fils du Shah d’Iran, chassé du pouvoir par la Révolution islamique. Mohsen Sazegara a été l’un des fondateurs des Gardiens de la Révolution, terrible organisation politico-militaire, qui est encore aujourd’hui, l’un des derniers soutiens du régime.
Reza Pahlavi, lui, se consacre depuis trente ans, seul et sans moyen, car il est abandonné de tous, à instaurer la démocratie dans son pays. Chacun de son côté, Mohsen Sazegara et Reza Pahlavi, ont fait un bout du chemin, ont connu des remises en question et des souffrances. Mohsen Sazegara après avoir occupé de hautes fonctions dans la République Islamique est devenu un leader du mouvement réformateur. Il l’a payé de plusieurs mois de prison, et de tortures physiques et morales. Ces deux hommes se retrouvent aujourd’hui pour soutenir la révolte du peuple iranien et ils sont tous les deux à la fois pour la démocratie et la laïcité. On peut en dire autant de tous les Iraniens qui seront à la tribune. Je pense notamment aux femmes comme Chahdortt Djavan, Chahla Chafiq et Ladan Boroumand, qui, en tant que femmes, furent les premières victimes de l’obscurantisme religieux.

La situation en Iran est grave. Que traduit la crise actuelle ? Peut-on parler de situation prérévolutionnaire ?
Réponse : Cette situation n’est absolument pas surprenante pour ceux qui, comme moi, suivent les événements en Iran, depuis plusieurs années. Nous avons tous relevé un décalage croissant entre une société civile aspirant à la démocratie et l’assouplissement à la disparition des contraintes religieuses imposées par le système.
Je vous rappelle que le livre d’entretiens que j’ai publié avec Reza Pahlavi s’appelle « L’heure du choix », (Ed. Denoël, février 2009, 17 euros), ce qui signifiait clairement que pour lui, la question de la démocratie se posait à court terme pour l’Iran. Ce titre a suscité beaucoup de sarcasmes à l’époque. Il y a encore quelques semaines, des observateurs vantaient la solidité du régime iranien et louaient ses capacités à organiser des élections démocratiques. Ce qui est clair, c’est que nous sommes confrontés à deux crises. La première oppose une grande partie de la société iranienne au pouvoir en place et la deuxième est interne au pouvoir. La jonction entre une partie de l’appareil religieux, politique et militaire et les protestataires entrainera à terme une crise qui débouchera non pas sur une réforme mais sur un dépassement de la République islamique. Il est très significatif d’ailleurs de constater qu’un homme comme Moussavi, ancien Premier ministre de Khamenei et de Khomeiny (entre 1981 et 89) dans la période la plus répressive du régime se trouve aujourd’hui emporté bien loin de ses intentions initiales dans un affrontement avec le régime dont il est issu.

La jeune Neda, qui a été tuée d’une balle en pleine poitrine et dont le film de sa mort fait le tour du monde sur le web, est-elle devenue le symbole même de la résistance en Iran ?
Réponse : Les images terribles de ce carnage, de cet acharnement brutal et inhumain sur cette jeune fille symbolise la réalité de la République islamique. Dans le livre que je publie très bientôt chez Denoël (« Histoire secrète de la révolution iranienne »), avec mon ami l’intellectuel iranien Ramin Parhan, nous montrons avec des documents inédits que dès le premier jour, la révolution islamique s’est distinguée par sa brutalité, sa cruauté, et la haine de tous ceux qui était différent et notamment les femmes. Ce fut une révolution contre les femmes et il est assez malheureusement logique que cette révolution qui a commencé contre les femmes se termine par le massacre d’une jeune femme sans défense. Toutefois, le symbole de la nouvelle révolution démocratique dont nous voyons les prémices actuellement, ce sont ces beaux visages de femmes iraniennes, qui enlèvent leur voile et droit dans les yeux défient les Ayatollahs obscurantistes et leurs miliciens barbares. Ce sont ces visages de femmes dévoilées iraniennes qui sont aujourd’hui non seulement l’espoir de l’Iran mais l’espoir de toux ceux qui pensent -à l’encontre des partisans de la guerre des civilisations- que les valeurs de la déclaration de 1948 des Droits de l’Homme, que l’égalité des hommes et des femmes, que la séparation du politique et du religieux, ne sont pas les produits de l’impérialisme occidental, mais sont les valeurs de l’Humanité toute entière.

Propos recueillis par Marc Knobel

Photo (Michel Taubmann) : D.R.

Note :
1) Pour des raisons de place et de sécurité: Inscription obligatoire à cette adresse email avant le 26 juin: m.taubmann@free.fr

Michel Taubmann est également l’auteur de « La bombe et le Coran, une bibliographie de Mahmoud Ahmadinejad », Ed. du moment, 2008, 19 euros 95.

Elie Korchia, Président du Conseil des Communautés Juives des Hauts de Seine, délégué du CRIF pour le 92 : Tous pour Shalit !

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22 Juin 2009
Question : Il y a trois ans de cela, le jeune franco-israélien était kidnappé dans la bande de Gaza. Depuis, il est depuis sans que l’on sache ce qu’il est devenu. Que vous inspire ce fait tragique ? Et, pourquoi vous mobilisez-vous pour sa libération ?
Réponse : le sort d’un otage ne saurait laisser indifférent. Guilad Shalit est depuis plus de 1000 jours dans des conditions que l’on peut imaginer, particulièrement difficiles. Bien évidemment, la communauté juive dans son ensemble est attentive et inquiète du sort de ce franco-israélien. Il m’apparaît important, alors que nous dépassons la troisième année de sa détention (jeudi 25 juin 2006), que des villes du département des Hauts-de-Seine puissent se mobiliser, dans un même élan solidaire pour la libération de cet otage, et dans le prolongement du discours et des annonces précédemment faites par le Président de la république.

Question : Estimez-vous que votre département saura se mobiliser pour le jeune Guilad ?
Réponse : Je vous rappelle que j’ai sollicité un certain nombre d’élus sur cette question dès après mon élection dans les communautés juives des Hauts-de-Seine (15 mars 2009). J’ai eu le plaisir de recevoir un écho très positif quant à cette démarche et je me suis rendu compte que le département des Hauts-de-Seine pouvait à nouveau jouer un rôle moteur, pour ne pas dire pilote, dans un engagement pour la libération de Guilad Shalit. C’est ainsi qu’à l’occasion de la grande soirée de gala qui a réuni toutes les communautés juives des Hauts-de-Seine -le 17 juin 2009, au Haras de Jardy (Marne la coquette)- que j’ai annoncé que sept villes du département ont accepté d’apposer ce jeudi 25 juin 2009, le portrait de Guilad dans leur mairie. J’en profite aussi pour remercier de son soutien l’association « Soutien Français à Guilad Shalit, qui nous a aidé à délivrer les portraits de Guilad dans les différentes mairies et, plus largement, tous ceux qui dans le milieu associatif, politique ou communautaire sont engagés dans ce combat.

Question : Pourriez-vous nous dire quelles sont les villes du département qui vous suivent à l’heure actuelle dans cette démarche citoyenne ?
Réponse : En quelques jours, dans la préparation de la journée, certaines villes se sont mobilisées rapidement : Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Medon, La Garenne Colombes, Puteaux, Neuilly sur Seine, Suresnes.

Question : Pourriez-vous me donner un exemple plus particulier ?
Réponse : Oui, tout à fait. Si l’engagement des différentes villes est d’apposer le portrait de Guilad dans la journée du jeudi 25 juin, je tiens à remarquer que ce même jour, à la mairie d’Issy-les-Moulineaux, André Santini, maire de la ville, organisera une cérémonie conséquente autour de cet événement, et en présence de nombreux élus.

Question : D’autres villes du département se joindront-elles prochainement à cette initiative ?
Réponse : J’espère vivement que ce projet -qui devient réalité- pourra être partagé prochainement dans d’autres villes car le soutien exprimé pour la libération d’un otage dépasse largement tous les clivages politiques ou partisans.

Question : Souhaitez-vous que cette action suscite un engouement dans d’autres départements et que seriez-vous prêts à faire en ce sens ?
Réponse : Je suis à l’entière disposition de tous les responsables communautaires tant en Ile-de-France que dans les régions, pour faire en sorte que cette expérience serve de modèle et puisse être dupliquée ailleurs.

Georges Bensoussan : A quoi sert de plaider pour un enseignement qui fasse sens si on ferme les yeux sur ce qui se passe en France en 2009 ?

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19 Juin 2009
George Bensoussan est historien, responsable éditorial de la revue d’Histoire de la Shoah

André Kaspi, historien, spécialiste des Etats-Unis : Obama : ce qui va changer

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12 Juin 2009
Les faits et gestes du président Barack Obama sont scrutés partout dans le monde et les déplacements à l’étranger du nouveau président américain, suscitent énormément de commentaires et d’intérêts. Comment l’expliquez-vous ?

Trois questions au docteur Joseph Zrihen, vice-président du FSJU

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12 Juin 2009
- Du dimanche 7 juin au mardi 10 juin s’est tenu à l’Espace Rachi un séminaire Européen sur l’Action Sociale. Pouvez-vous nous en parler ?

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