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Pour Hélène Mouchard-Zay la reconnaissance prochaine par la patrie de ces quatre personnalités (Jean Zay, Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Pierre Brossolette) est un message fort pour la jeunesse de France.
Ce combat qu’elle a mené pour la mémoire de son père est lié à celui qu’elle prolonge au sein du CERCIL. Il fallait pour qu’il prenne pleinement sens qu’elle défende aussi celle de ces enfants juifs internés puis déportés. « Le combat mémoriel n’est jamais terminé », assure-t-elle.
Le Musée mémorial du CERCIL est ouvert depuis le 27 janvier 2011 et ne cesse d’accroître son activité.
Il bénéficie d’une convention avec le Conseil Régional d’Ile-de-France. Aujourd’hui le CERCIL doit résoudre des problèmes de locaux et d’espace. Il manque aussi de médiateurs.
L’affluence du public est remarquable, pour l’année 2013 13 000 visiteurs se sont déplacés dont 3000 individuels, l’essentiel du public étant scolaire. Le CERCIL organise aussi en continu des conférences et des projections. Il propose notamment des rencontres hebdomadaires « les mardis du CERCIL », qui sont un vrai succès.