C’est un témoignage particulièrement fort que propose le numéro 7 des Études du Crif dirigées par Marc Knobel. Témoignage sur le changement radical d’attitude de l’Église à l’égard du judaïsme et, partant, de l’antisémitisme.
Jean-Marie Lustiger, cardinal de Paris, tout d’abord, qui, rappelant les trois pôles principaux du judaïsme, États-Unis, Israël et Europe, souligne que « Le projet sioniste a été conçu pour arracher les Juifs à la condition diasporique perçue comme la cause principale de l’antisémitisme ».
L’archevêque de Bordeaux, Monseigneur Jean-Pierre Ricard, Président de la conférence des Evêques de France, revient sur le voyage à Jérusalem du pape Jean-Paul II, en mars 2000 et sur la forte portée symbolique de sa méditation devant le Kotel.
Archevêque de Lyon et Primat des Gaules, Monseigneur Philippe Barbarin, rappelle que «l’antisémitisme n’est pas une pathologie comme une autre ; elle a conduit aux pires horreurs ! ». Car « sans l’antisémitisme d’avant-guerre en Europe, Auschwitz n’aurait sans doute pas pu exister ! »
Cette étude a été mise en ligne grâce à la participation de la Fondation Pour la mémoire de la Shoah.
La version intégrale du texte est accessible en cliquant sur le lien ci-contre :
http://www.crif.org/pdf/etude_7.pdf