Ariel Amar

Président de France-Israël, Alliance Général Koenig et membre du Bureau exécutif du Crif

Le billet d’Ariel Amar – « Français innocents », « Libanais en deuil » : Le délire recommence !

23 Septembre 2024 | 438 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale. 

Billet d’Ariel Amar*, pharmacien

 

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Actualité

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Israël

Une grande passion pour Israël et pour le peuple juif.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

D'abord on critique, puis on dénie et pour finir on adopte. Laissons le temps au temps.

Conflit israélo palestinien, traitement médiatique, crise de l'information : analyse

Portrait de Sophie Taïeb
Incendie du tombeau de Joseph
|
16 Octobre 2015
Catégorie : Israël

Détruire la cité ancienne de Palmyre et faire brûler le tombeau de Joseph reviennent-ils vraiment au même ? Pas pour tout le monde.

Quand les larmes se transforment en espoir d'un monde meilleur.

Maxime Perez est journaliste, correspondant pour la presse française en Israel et spécialiste des affaires militaires pour la chaine i24News.
Marc Knobel Directeur des Etudes du CRIF à confié à Maxime Perez le soin de présenter une étude sur l'Opération Bordure Protectrice.

Lundi dernier, l’ancien Président de la République était en Israël. Une visite étrange, hybride où le mélange des genres s’ajoute à la confusion des rôles.

Les français d'Israël, et en particulier ceux qui ont immigré de France durant les quinze dernières années, ont en grande majorité souhaité la réélection de Benjamin Netanyahu.
Déçus par l'attitude des politiques français face à l'islamisme et l'antisémitisme, beaucoup voient en Bibi un dirigeant politique charismatique doté d'une capacité à affirmer avec une assertivité rare la cause d’Israël à la face du monde et savent que ses concurrents en politique n'ont pas cette compétence exceptionnelle.
De plus, comparant la réussite de l'économie d'Israël face à la faillite de l'économie française, ils ne comprennent pas pourquoi la plupart des médias israéliens et analystes politiques sont tellement critiques envers celui qu'ils considèrent à juste titre comme un héros du peuple juif. 

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Un triste 3 octobre 1980, un Premier ministre de la France avait parlé de « Français innocents » pour qualifier les quatre victimes de l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic à Paris. Tous les juifs de France, et leurs nombreux amis, se souviennent de cette parole honteuse.

Ainsi, les Juifs ne seraient, eux, pas complètement innocents ?

44 ans après, le président de la République s’adresse au « peuple libanais » pour lui présenter ses condoléances (et celle du peuple français…) après l’attaque ultra-ciblée qui a frappé la plupart des cadres du Hezbollah les 17 et 18 septembre.

Cette attaque n’a visé que des membres du Hezbollah, ou leurs amis proches qui communiquent avec eux par des réseaux occultes : c’est l’acte de guerre à distance le plus « chirurgical » de l’Histoire ; aucun innocent n’a été sérieusement touché ; aucun détenteur d’un bipeur du réseau du Hezbollah ne peut prétendre qu’il l’avait par accident ou par jeu.

Cette attaque répond à celles, incessantes depuis le 8 octobre, qui ont visé et touché le territoire israélien, faisant des victimes civiles parmi celles visées indistinctement par les terroristes du Hezbollah.
Elle n’a touché en rien le Liban, ses institutions, sa survie, sa population civile, elle vraiment innocente ! Cette attaque a suscité une grande vague d’espoir parmi les Libanais qui sont pris en otage par la milice armée par l’Iran et qui se finance par ses prédations sur l’économie libanaise, à l’image du Hamas à Gaza.

N’oublions jamais que, contrairement à Israël, le Hezbollah – pas plus que le Hamas – ne cherche pas juste la défaite militaire ou politique d’Israël ; ce n’est pas une guerre conventionnelle : le Hezbollah vise la disparition pure et simple d’Israël et l’expulsion définitive de sa population juive (au moins), voire (si possible) son extermination.
Cette politique d’éradication a été menée par de nombreux pays arabes depuis des décennies à l’encontre de leur population juive ; la politique menée par le Hezbollah contre les non-musulmans au Liban, pays auquel il a fait perdre son identité de diversité et de richesse humaine et culturelle, est la même.
Le Hezbollah est donc un « non-interlocuteur » ; sa présence empêchera toute solution politique à laquelle se réfère le président de la République.

S’il faut aider le Liban, c’est à se débarrasser du Hezbollah et de profiter de son affaiblissement pour unir enfin les destins d’Israël et du Liban ; en ayant le courage de qualifier l’opération – sans doute israélienne – de succès et de chemin vers la paix, à laquelle pourra peut-être se joindre une partie de la Syrie, comprenant enfin l’épreuve de force.
C’est sans doute aussi ce chemin qu’il faudrait suivre pour donner enfin la paix aux Gazaouis et à leurs voisins israéliens.
Il y faudra sans doute plus de lucidité et de bonne foi de la part des dirigeants occidentaux…

 

Ariel Amar, Président de France-Israël, Alliance du Général Koenig, membre du Bureau exécutif du Crif

 

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