Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Sarah Halimi : ne jamais accepter l'injustice

06 Avril 2021 | 162 vue(s)
Catégorie(s) :
France
Portrait de Stéphanie Dassa
Hommage à Claude Hampel
|
14 Novembre 2016
Catégorie : France

« Il y eut un soir et il y eut un matin » Genèse1 : 5

Comme chaque année, l'association ASI/Keren Or que je préside, distribue des lunettes de vue en Israël aux plus démunis. Cette année l'opération s'est déroulée dans la ville de LOD.

En 2005, le fait religieux envahissait peu à peu et dans la confrontation, les cours de récréation. L’agitation religieuse commençait à provoquer des dégâts dont nous payons le prix lourd aujourd’hui.

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

Une stèle en mémoire des victimes de la Shoah qui n’ont pas de sépulture, "ni ici, ni ailleurs", a été inaugurée dans le cimetière parisien de Bagneux.
Une cérémonie solennelle - et sous haute sécurité - qui, à Bagneux, dix ans après la mort d’Ilan Halimi, séquestré et torturé dans la cité de la Pierre-Plate parce qu’il était juif, était d’autant plus symbolique.

Dimanche 11 septembre 2016, j'étais l'invité de l'émission "30 minutes pour convaincre".

Le racisme qui frappe la communauté asiatique est insupportable.
 

Vouloir profiter de l'actuelle polémique pour assimiler les arrêtés anti-burkini à la Saint-Barthélemy et à la Shoah, c'est tomber dans l'indigne et le nauséabond 

Le Times of Israel a repris ma critique de la comparaison musulmans de France - juifs pendant la Shoah.

Je fais suite aux propos de Jean Luc Melenchon travestissant l'Histoire de France.

Aux côtés de Bruno Valentin, prêtre du diocèse de Versailles et Ahmet Ogras, vice-président du CFCM sur le plateau de BFM TV, j'ai réaffirmé mon sentiment d'horreur face à cet acte barbare qui s'est passé ce matin.

 

Les vidéos de la mort, par Marc Knobel
|
21 Juillet 2016
Catégorie : France

Dans quel monde vivons-nous et de quelle inhumanité est faite le monde ?

Pages

Actualité

Il y a six ans (ndlr. : cet article a été rédigé en mars 2018), en mars 2012, à Montauban et Toulouse, sept vies ont été fauchées par un terroriste islamique, donc je me refuse à rappeler le nom.

Pages

Opinion

Bienvenue sur le blog La Chronique (pas tès casher) de Raphaela ! Sur ce blog, Raphaela vous propose ses billets d'humeur sur tout ce qui l'entoure, l'émeut, la touche, la fait rire et la révolte. Et elle a des choses à vous dire...

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

Pages

J’espère tout d’abord que les fêtes de Pessah se sont bien déroulées pour chacun de vous. Des fêtes bien particulières, pour la deuxième année consécutive, compte-tenu de la situation sanitaire due à ce virus qui à ce jour encore menace et perturbe la vie de millions d’individus à travers la planète.

Mais cette année, bien que les contaminations ne cessent d’augmenter et que le nombre des victimes n’a cessé de croître, une lueur d’espoir commence avec les résultats obtenus grâce à la vaccination. Une vaccination qui montre son efficacité là où elle a été engagée avec force et en nombre suffisant. J’en veux pour preuve les résultats obtenus en Grande-Bretagne, aux États-Unis et évidemment en Israël.

Comment ne pas regarder avec admiration et respect le retour à la Vie qui s’est amorcé dans ces pays qui prenant à la lettre cette « déclaration de guerre » que nous a lancé le COVID-19, ont mis tout en œuvre pour se battre et vaincre.

Souhaitons qu’il en soit de même pour tous les pays qui ont pris un retard considérable dans cette lutte contre ce virus qui tue à plusieurs niveaux. Il tue les êtres, l’économie, et fragilise le moral de nombre de nos concitoyens.

Permettez-moi une parabole avec la fête de Pessah au cours de laquelle nous nous sommes souvenus de notre libération de l’esclavage et par la même de tous les esclavages visibles et invisibles.

Une libération, accompagnée par un envoyé du Ciel, au cours de laquelle nous avons tous accepté les lois qui ont fixé nos droits et nos devoirs. Il est essentiel de raconter cette libération et de ne jamais oublier ses enseignements. Comme celui de ne jamais accepter l’Injustice.

Oui l’injustice, comme celle que subit notre sœur Sarah Halimi (Zal), torturée, violentée et défenestrée il y a quatre ans, le 4 avril 2017, simplement parce qu’elle était Juive.

Une injustice qui fait que quatre ans après, son tortionnaire n’est toujours pas jugé.

Un criminel antisémite jugé irresponsable ?

En ce quatrième anniversaire de son assassinat c’est la justice qui semble irresponsable !

Et nous ne pouvons le supporter. Quatre ans après, nous n’oublierons jamais Sarah Halimi et continuerons notre combat pour que justice soit rendue.

 

Gil Taïeb