Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Continuons d’agir à travers l’appel National de la Tsedaka

13 Décembre 2021 | 37 vue(s)
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Actualité

Prix Nobel de littérature en 2002, l'écrivain hongrois Imre Kertèsz est mort à Budapest le 31 mars 2016. Son dernier livre, "L'ultime auberge" a reçu, le 22 mai 2016, le Prix Spécial du Jury 2016 du Salon du Livre de la Licra-Paris

Voici le discours que j'ai prononcé après le vote de l'assemblée générale du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

Lors du 9ème Salon du Livre de la Licra, deux écrivains ont reçu un prix

Là-bas, la crainte d'une menace russe est la principale raison qui exacerbe les passions identitaires.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

Des 27 avril au 10 juin 2016, se tiendront les journées nationales des Mémoires de la traite de l’esclavage et de l’abolition.  Souvenons-nous.

Nouvelle erreur de casting - Au lendemain de l'émission Dialogues Citoyens, retour sur Marwen Belkaid, un invité pas comme les autres.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Réaction à la célébration du 20ème anniversaire de la mort de François Mitterand

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A quelques jour de notre Convention Nationale j'ai répondu aux questions de Sara Mesnel pour L'Arche 

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Comment les réseaux sociaux sont passés de l'effroi à la solidarité sans précédent avec les telavivim

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Opinion

Par Chloé Blum

Jean-Pierre Allali partage avec vous ses appréciations littéraires au fil de ses lectures. Aujourd'hui, il nous parle du livre de Techouva, de Frédéric Lauze.

Jean-Pierre Allali partage avec vous ses appréciations littéraires au fil de ses lectures. Aujourd'hui, il nous parle du livre de Dina Porat, Le Juif qui savait Wilno-Jérusalem : la figure légendaire d’Abba Kovner, 1918-1987.

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La semaine dernière, paraissait dans la presse une étude qui faisait apparaître que Tel Aviv était devenue la ville la plus chère du monde.

Une nouvelle qui montrait une fois encore la vitalité exceptionnelle de cette ville qui ne dort jamais et qui voit l’activité économique exploser avec la multiplication des tours de bureaux et l’éclosion d’une multitude de start-up.

Mais, car il y a un mais, dans ce poumon économique d’Israël, rien n’est normal. Les prix de l’immobilier s’envolent et la vie au quotidien devient de plus en plus difficile pour celles et ceux qui gagnent tout simplement leur vie. Comme dans beaucoup de grandes villes du monde, le fossé se creuse de plus en plus au profit des plus nantis qui représentent la puissance économique du pays.

Les prix à la consommation sont anormalement élevés et ce constat est fait depuis de nombreuses années sans que personne jusqu’à ce jour n’ait pris le sujet au sérieux. En Israël, les lobbys économiques sont très puissants et la concurrence n’est pas ouverte. Des monopoles sont installés et on nous parle même de 20 familles qui les détiennent. Oui, la vie est anormalement chère en Israël. Les denrées de base telles que les produits laitiers sont deux à trois fois plus chers que partout. Ce constat est fait régulièrement mais jusque-là rien a été fait pour changer cette aberration.

Lueur d’espoir ?

La semaine dernière le ministre de l’économie, Avigdor Libermann, annonçait l’ouverture des marchés et la limitation des taxes à l’importation de ces produits de base. Une décision forte qui je l’espère aura des effets sur le panier de la ménagère. Cette nouvelle accompagnait l’annonce par le ministre de la défense Benny Gantz, de l’augmentation de 50 % de la solde des militaires. Ces annonces ou plutôt ces décisions ne concernent pas les sujets classiques et essentiels comme celui de la sécurité d’Israel mais elles sont au moins aussi importantes car elles concernent la vie au quotidien. Elles montrent au peuple Israélien que la start-up nation n’oublie aucun de ses enfants.

J’espère que ces premiers pas se poursuivront et que tous les citoyens d’Israel sur lesquels repose la défense du pays, pourront recevoir la lumière de ce beau pays qui éclaire le monde.

 

En cette période de Tsedaka, rappelons-nous l’importance de penser aux plus faibles et ici en France, continuons d’agir à travers l’appel National de la Tsedaka afin que personne ne se sente abandonné.

 

Gil Taïeb

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