Francis Kalifat

Ancien président

Mon hommage à Claude Barouch

27 Avril 2020 | 172 vue(s)
Catégorie(s) :
France

De ce 9 janvier 2015, nous voulons retenir une autre image, cette belle image. Celle de Lassana Bathily.

Lundi 20 novembre, j'ai rencontré le Président français Emmanuel Macron à Paris, accompagné d'une délégation du Congrès Juif Européen (EJC).

La semaine dernière, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) proposait dans sa newsletter et sur ses réseaux sociaux un contenu qui a fait polémique.

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Actualité

Bienvenue sur le blog La Chronique (pas tès casher) de Raphaela ! Sur ce blog, Raphaela vous propose ses billets d'humeur sur tout ce qui l'entoure, l'émeut, la touche, la fait rire et la révolte. Et elle a des choses à vous dire...

Le 34ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 20 février 2019

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

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A Claude Barouch, mon ami, 

Je me souviendrai très longtemps de ce 25 avril où j’ai appris, à la sortie de Chabbat, la disparition de mon ami Claude Barouch, terrassé par ce terrible virus après l’avoir combattu pendant cinq semaines.

L’annonce de son décès a été pour moi comme un coup de massue.

J’ai connu Claude il y a plus de 20 ans, au moment où avec quelques amis il créa l’Union des Patrons et des Professionnels Juifs de France (UPJF) dont il prendra la présidence quelques années plus tard.

Claude était un homme de convictions et d’engagements, un homme courageux, et un esprit libre.  Il était avant tout un homme d’action et un militant qui avait chevillée au corps la défense d’Israël, du peuple juif et des valeurs juives.

Claude était de tous les combats et ne ménageait ni sa peine ni son énergie. C’est une perte immense pour la communauté juive de France qu’il laisse orpheline. Elle perd un militant ardent et passionné dont chacun a pu apprécier la constance de ses engagements depuis de nombreuses années. Elle perd un de ses dirigeants, et moi je perds un ami. Claude va manquer à tous. Il me manque déjà.

A son épouse, à son fils et à ses filles ainsi qu'à tous ses proches, je veux dire toute la peine que j’éprouve et les assurer de toute mon amitié.

Francis Kalifat, Président du Crif