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Publié le 10 Décembre 2014

Abderrahmane Sissako : « L’islam est pris en otage »

Propos recueillis par Marie-Noëlle Tranchant et Etienne Sorin, entretien publié dans le Figaro le 10 décembre 2014

… Votre représentation des djihadistes est très éloignée des caricatures des films hollywoodiens…

Il faut accorder une part d’humanité à celui qui commet des choses terribles. Cela ne veut pas dire que je ne suis pas réaliste. Lorsque les djihadistes amènent un otage, ils lui donnent ses lunettes, ils lui rendent ses médicaments. On le met à l’aise, on lui offre un thé. Mais peut-être que dix minutes plus tard on va le décapiter.

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Publié le 10 Décembre 2014

Face au djihadisme, la force de l'art

Par Jacques Mandelbaum, publié dans le Monde le 9 décembre 2014

Avec " Timbuktu ", Abderrahmane Sissako signe le premier film qui prend la mesure des horreurs perpétrées au nom de l'islam radical.

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Publié le 9 Décembre 2014

La France en noir et brun des collabos

Par Nicolas Weill, publié dans le Monde le 9 décembre 2014

On aura tort de soupirer et d'entonner le refrain du "  trop-plein  ", réaction obligée sur tout livre ou événement consacré à la mémoire de Vichy, de la collaboration ou du nazisme. D'abord parce que ce discours de la prétendue "  saturation  " fut mis en place dès que les canons se furent tus. Ensuite parce que le silence a surtout permis la mise sous le tapis de confrontations pénibles avec la réalité des " années noires ".

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Publié le 9 Décembre 2014

« Un véritable nettoyage ethnique par la peur »

Propos recueillis par Steve Nadjar, publié dans Actualité Juive le 9 décembre 2014

Auteur d’un ouvrage sur le sujet, Georges Bensoussan analyse les ressorts d’un épisode majeur de l’histoire juive contemporaine.

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Publié le 4 Décembre 2014

"Qui sont les enfants cachés?"

Publié dans le Nouvel Observateur le 3 décembre 2014

Lors de la Seconde Guerre mondiale, les enfants juifs en France ont dû être cachés pour des raisons de survie. Contraints de renoncer à leur identité durant le conflit,  afin d’éviter les effets de la barbarie nazie et une mort certaine, ils ont souvent dû, après 1945, changer à nouveau de patronyme, ce qui ne fut pas sans poser de problèmes.

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Publié le 4 Décembre 2014

La folle logique de la pensée nazie

Par Marc Semo, publié dans Libération le 3 décembre 2014

L’étendue des crimes du nazisme autant que leur horreur ont longtemps constitué une énigme pour les historiens. Dans les années de l’après-guerre, la tendance était surtout de considérer les dirigeants nazis comme de monstrueux psychopathes et il aura fallu attendre plus d’un quart de siècle la publication des expertises psychiatriques effectuées sur les hiérarques du IIIe Reich jugés à Nuremberg, parce qu’elles concluaient à leur quasi-normalité psychique.

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Publié le 4 Décembre 2014

«Enseigner la Shoah est souvent un exercice délicat»

Propos recueillis par Delphine Bancaud, entretien publié sur 20minutes le 3 décembre 2014

Comment trouver les mots pour parler de la Shoah? C’est justement l’une des problématiques abordées par le film « Les Héritiers », sorti mercredi 3 décembre 2014 dans les salles de cinéma en France,  et qui montre comment une enseignante a réussi à intéresser des lycéens de Créteil à cette période de l’Histoire. L’occasion pour 20 minutes d’interroger Jacques Fredj, directeur du Mémorial de la Shoah, qui organise depuis 2001 des formations pour aider les enseignants à délivrer leurs messages sur le sujet.

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Publié le 3 Décembre 2014

Le secret de l'éducation juive

Par Eliette Abécassis, publié dans le Huffington Post le 3 décembre 2014

Au moment où le débat porte sur l'impact de la notation dans la pédagogie, faisant ainsi le lien entre la psychologie et le développement intellectuel, on peut se poser la question des fondements et des valeurs de l'éducation.

Le Judaïsme, entre autres, est réputé pour accorder une place primordiale à l'éducation. Récemment, la Corée du Sud a inscrit le Talmud au programme de l'éducation nationale. Selon Sam Young, ambassadeur de Corée du Sud en Israël, les Coréens sont "très intéressés par le haut niveau académique des Juifs. Nous voulions connaître le secret du peuple juif. Notre conclusion a été qu'un des secrets réside dans l'étude du Talmud."

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Publié le 3 Décembre 2014

L'empreinte invisible de la Shoah

Le photographe Roberto Frankenberg est parti sur les traces de sa famille déportée. Ses clichés sont exposés à la Maison de la culture yiddish.

Le photographe Roberto Frankenberg est parti sur les traces de ses grands-parents, ainsi que d'une partie de sa famille, morte dans les camps d'extermination. 

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Publié le 2 Décembre 2014

Quand à l'université de La Rochelle certains réécrivaient le Juif Süss

Par Jacques Tarnero, publié dans le Huffington Post le 2 décembre 2014

Il se nomme Michel Goldberg. Il est enseignant, maître de conférence en biochimie à l'Université de La Rochelle. Il est très investi dans la vie de son université. En 2013 il apprend par un de ses étudiants qu'une pièce de théâtre se monte. Cette pièce a une vocation éducative. Elle devrait mettre en scène les mécanismes de la finance capitaliste débridée qui ravage le monde. Les dégâts planétaires provoqués par les faillites des grandes banques (Goldman Sachs, Lehmann Brothers) avaient nourri l'inspiration des auteurs que sont cinq étudiants de l'Université réunis dans un atelier d'écriture. La pièce en question porte un titre en forme de programme: "une pièce sur le rôle de vos enfants dans la reprise économique mondiale" Quand Michel Goldberg assiste à la première, c'est une très mauvaise surprise qui l'attend.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

L’actualité de Zweig

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06 Mai 2011
Le CRIF organise le mercredi 11 mai à 21 h une représentation, de la pièce « la femme silencieuse » de Monique Esther Rotenberg consacrée à Stefan Zweig. Elle aura lieu au théâtre Ayar, 4, square Rapp. Le prix des billets est de 80 à 150 euros, mais il faut vous inscrire de toute urgence pour réserver vos places au CRIF 01 42 17 11 11.

Diffamation de l'Autorité palestinienne : «Israël imite les nazis en faisant des expériences de drogues sur des prisonniers»

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06 Mai 2011
La profanation, le déni et les abus sur la Shoah sont tous des composantes de l'idéologie de l'Autorité palestinienne (AP) et de son discours. Palestinian Media Watch a rapporté la diffamation courante de l'AP selon laquelle Israël imiterait les nazis en causant intentionnellement aux prisonniers « une mort lente ».

La Lebanese Canadian Bank et le Hezbollah

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06 Mai 2011
Fondée au départ comme une filiale de la Banque royale du Canada, la Lebanese Canadian Bank est aujourd'hui une entreprise libanaise autonome, qui maintient un «vaste» réseau de liens financiers «avec des banques du monde entier, dont plusieurs aux États-Unis», selon le site Internet Cyberpresse.ca.

Cérémonie à la mémoire des internés du camp de Rivel

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05 Mai 2011
Le rendez-vous annuel organisé à l'initiative de Serge Pagès pour l'Arac (association républicaine des anciens combattants) et Andrée Zdrojower pour l'Ardiep (association des résistants, déportés, internés et emprisonnés politiques) aura lieu le lundi 16 mai 2011, sur le site de l'ancien camp de Rivel. Situé à quatre kilomètres de Chalabre, au lieu-dit «la scierie de la Prade» ("le moulin de l'évêque" est une appellation plus récente), l'endroit était jusqu'en 1939, la propriété de Guy Pierre, résidant à Toulouse. Le gouvernement français ayant alors ordonné aux préfets du sud de prévoir une arrivée massive de réfugiés, le terrain situé à 200 mètres de la gare de Rivel-Montbel (ligne Bram-Lavelanet), se transformera en un centre de séjour surveillé, placé sous la garde du lieutenant François-Paul Bonnet. Les travaux commencés en octobre 1939 seront terminés à la fin de l'année 1940 et le camp clôturé de plaques de ciment surmontées de barbelés accueillera 253 "indésirables". Nom donné à des syndicalistes et communistes, parmi lesquels Roger Garaudy, lesquels seront transférés le 28 janvier 1941 vers Saint Sulpice-la-Pointe dans le Tarn, avant un nouveau départ vers l'Afrique du Nord, en mars 1941. Le camp de Rivel accueillera ensuite des Allemands fuyant le régime nazi, et des juifs de toutes nationalités ayant cru trouver en France une terre d'asile. En août 1942, le jour de la "rafle du Vel d'hiv", tous seront transférés à Bram, les uns étant ensuite dirigés vers Rivesaltes, les autres subissant la déportation vers Auschwitz, via le camp de Drancy.

Hommage aux déportés à Armentières

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05 Mai 2011
Dans le cadre de la cérémonie du 8 mai 1945, la ville d’Armentières organise un hommage aux déportés en partenariat avec l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONAC). Sous l'impulsion de Roger Devroe, adjoint au maire délégué aux personnes âgées, aux seniors et aux associations patriotiques, la traditionnelle manifestation patriotique du 8 mai 1945 bénéficiera d'une ampleur nouvelle cette année. En effet, elle s'associe à l'ONAC pour mettre en place un hommage aux déportés, qui réunira les associations patriotiques, les écoles et lycées, l'harmonie du Commerce et la ville.

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