A lire, à voir, à écouter

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Publié le 12 Février 2015

Dana Ivgy, invitée d'honneur du NIFF 2015

Cinq dimanches, cinq films, un prix.

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Publié le 11 Février 2015

100 mots pour se comprendre contre le racisme et l'antisémitisme (*)

Un petit livre à acquérir et à avoir toujours sous le coude.

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Publié le 10 Février 2015

«Kaddish pour un Ami», séance spéciale au cinéma Saint-André des Arts

Une amitié improbable entre un jeune Palestinien et un grand-père juif à Berlin.
 

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Publié le 10 Février 2015

Chelli (At Li Layla), premier long métrage israélien d'Asaf Korman

Un film israélien qui aborde la question difficile du handicap.
 

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Publié le 10 Février 2015

«Rendez-vous avec l'heure qui blesse »: le « Nous sommes tous Juifs» de Gaston-Paul Effa

L'écrivain Gaston-Paul Effa ressuscite une figure oubliée de l'histoire de France : Raphaël Élizé, premier maire noir d'une commune de métropole, mort en camp de concentration.
 

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Publié le 9 Février 2015

Nathalie Zajde, ethno-psychiatre : « C’est la Shoah et ce qu’elle a produit qu’il nous faut réparer, soigner »

« Le fait d’appartenir au même monde que mes « sujets » m’interdit de me réfugier dans un ailleurs scientifique »
 

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Publié le 6 Février 2015

"Histoire Interdite" lève le voile sur la face cachée de la Libération

Saisissant, le film dévoile une France au bord du chaos et de la guerre civile.

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Publié le 5 Février 2015

« Les engagés volontaires juifs étrangers » au Mémorial de la Shoah

Une exposition sur les engagés volontaires juifs étrangers dans les armées françaises durant les deux guerres mondiales.
 

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Publié le 2 Février 2015

Pitchipoï : de Drancy à Auschwitz, le trajet des trains de la mort

Jean-François Lami et Simon Daval choisissent de refaire le trajet des déportés juifs français, en tentant de suivre le plus près possible les voies de chemins de fer qu'ils avaient alors empruntés.

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Publié le 2 Février 2015

Je suis français, juif et j'en ai marre

Il y a un peu plus d'un an, une bande d'abrutis criait "Juif casse-toi, la France n'est pas à toi" pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale dans les rues de Paris.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

L’actualité de Zweig

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06 Mai 2011
Le CRIF organise le mercredi 11 mai à 21 h une représentation, de la pièce « la femme silencieuse » de Monique Esther Rotenberg consacrée à Stefan Zweig. Elle aura lieu au théâtre Ayar, 4, square Rapp. Le prix des billets est de 80 à 150 euros, mais il faut vous inscrire de toute urgence pour réserver vos places au CRIF 01 42 17 11 11.

Diffamation de l'Autorité palestinienne : «Israël imite les nazis en faisant des expériences de drogues sur des prisonniers»

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06 Mai 2011
La profanation, le déni et les abus sur la Shoah sont tous des composantes de l'idéologie de l'Autorité palestinienne (AP) et de son discours. Palestinian Media Watch a rapporté la diffamation courante de l'AP selon laquelle Israël imiterait les nazis en causant intentionnellement aux prisonniers « une mort lente ».

La Lebanese Canadian Bank et le Hezbollah

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06 Mai 2011
Fondée au départ comme une filiale de la Banque royale du Canada, la Lebanese Canadian Bank est aujourd'hui une entreprise libanaise autonome, qui maintient un «vaste» réseau de liens financiers «avec des banques du monde entier, dont plusieurs aux États-Unis», selon le site Internet Cyberpresse.ca.

Cérémonie à la mémoire des internés du camp de Rivel

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05 Mai 2011
Le rendez-vous annuel organisé à l'initiative de Serge Pagès pour l'Arac (association républicaine des anciens combattants) et Andrée Zdrojower pour l'Ardiep (association des résistants, déportés, internés et emprisonnés politiques) aura lieu le lundi 16 mai 2011, sur le site de l'ancien camp de Rivel. Situé à quatre kilomètres de Chalabre, au lieu-dit «la scierie de la Prade» ("le moulin de l'évêque" est une appellation plus récente), l'endroit était jusqu'en 1939, la propriété de Guy Pierre, résidant à Toulouse. Le gouvernement français ayant alors ordonné aux préfets du sud de prévoir une arrivée massive de réfugiés, le terrain situé à 200 mètres de la gare de Rivel-Montbel (ligne Bram-Lavelanet), se transformera en un centre de séjour surveillé, placé sous la garde du lieutenant François-Paul Bonnet. Les travaux commencés en octobre 1939 seront terminés à la fin de l'année 1940 et le camp clôturé de plaques de ciment surmontées de barbelés accueillera 253 "indésirables". Nom donné à des syndicalistes et communistes, parmi lesquels Roger Garaudy, lesquels seront transférés le 28 janvier 1941 vers Saint Sulpice-la-Pointe dans le Tarn, avant un nouveau départ vers l'Afrique du Nord, en mars 1941. Le camp de Rivel accueillera ensuite des Allemands fuyant le régime nazi, et des juifs de toutes nationalités ayant cru trouver en France une terre d'asile. En août 1942, le jour de la "rafle du Vel d'hiv", tous seront transférés à Bram, les uns étant ensuite dirigés vers Rivesaltes, les autres subissant la déportation vers Auschwitz, via le camp de Drancy.

Hommage aux déportés à Armentières

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05 Mai 2011
Dans le cadre de la cérémonie du 8 mai 1945, la ville d’Armentières organise un hommage aux déportés en partenariat avec l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONAC). Sous l'impulsion de Roger Devroe, adjoint au maire délégué aux personnes âgées, aux seniors et aux associations patriotiques, la traditionnelle manifestation patriotique du 8 mai 1945 bénéficiera d'une ampleur nouvelle cette année. En effet, elle s'associe à l'ONAC pour mettre en place un hommage aux déportés, qui réunira les associations patriotiques, les écoles et lycées, l'harmonie du Commerce et la ville.

Le Fatah et le Hamas, vingt-quatre ans de rivalités

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05 Mai 2011
Combien de temps durera la réconciliation inter palestinienne? La question peut être posée à la lumière des relations délicates entretenues par les deux principales factions palestiniennes. Au départ, rien n’indiquait que le Fatah, fondé par Yasser Arafat au Koweït en 1959, devrait subir la concurrence d’une autre formation. Pilier de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), le Fatah, parti attrape-tout dont la plasticité a longtemps permis de s’adapter aux changements idéologiques, semblait incarner l’idéal national palestinien jusqu’à la réalisation de ses objectifs réduits à partir de la fin des années soixante-dix aux territoires occupés en 1967 (la Cisjordanie et Gaza).

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