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Publié le 13 Mai 2024

L'entretien du Crif - Patrick Klugman sur les otages : « je ne supporte pas les obsédés de la symétrie artificielle »

Avocat, Patrick Klugman – qui a été Président de l’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF), puis adjoint au Maire de Paris en charge des relations internationales – est le défenseur d’une famille d’otage capturé par le Hamas le 7 octobre. Alors que certains cherchent à établir une équivalence entre otages et prisonniers légalement détenus en Israël après décisions de Justice, Patrick Klugman s’élève, dans notre entretien, contre cette « symétrie » : « Un prisonnier n’est pas un otage. Un prisonnier est détenu en fonction d’un titre que l’on peut contester dans un endroit qui est connu et où il peut être visité et avoir accès à l’aide juridique ou médicale dont il a besoin. Un otage à Gaza a beaucoup moins de droits qu’un animal mal traité en France ». Répondant aux questions de Jean-Philippe Moinet sur l’enjeu et le nombre des otages détenus par l’organisation terroriste, l’avocat indique : « Personne ne pense qu’il y a encore 130 otages vivants à Gaza. Les experts évoquent plus généralement entre 40 et 70 d’entre eux dont on peut espérer le retour ».
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Publié le 7 Mai 2024

Le Crif en action - Intervention du Président du Crif aux Assises de lutte contre l’antisémitisme

Yonathan Arfi a pris la parole dans le cadre de l’événement organisé par Aurore Bergé, en présence des représentants des cultes et des associations de lutte contre la haine.
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Publié le 7 Mai 2024

Crif - Les temps forts du 38ème dîner annuel du Crif

Lundi 6 mai 2024, le 38ème Dîner annuel du Crif s’est tenu en présence du Premier ministre, Gabriel Attal. Jour de Yom Hashoah, sept mois après les attaques terroristes du 7 octobre en Israël, alors que plus de 130 personnes sont encore retenues en otage par les terroristes du Hamas, et que les actes antisémites flambent en France… ce dîner a été l’occasion de rendre hommage à toutes les victimes juives et de demander, une fois encore, la libération immédiate des otages retenus dans la bande de Gaza.
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Publié le 7 Mai 2024

Vu dans la presse - 38ème Dîner annuel du Crif

Lundi 6 mai 2024, s'est tenu le 38ème dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif).
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Publié le 7 Mai 2024

Le Crif en action - Cérémonie de Yom Hashoah à Roglit en Israël

Le représentant du Crif en Israël, Marc Lévy, a participé à la cérémonie de Yom Hashoah au mémorial de Roglit en Israël.
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Publié le 7 Mai 2024

Le Crif en action – Cérémonie de Yom Hashoah à Strasbourg organisée par le Crif Alsace

Cette année, la lecture publique des noms des victimes alsaciennes de la Shoah s’est tenue dans un contexte particulier. Le Crif Alsace a organisé une commémoration sur une des places emblématiques de la ville de Strasbourg.
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Publié le 7 Mai 2024

Crif - Discours du Premier ministre Gabriel Attal à l'occasion du 38ème Dîner du Crif

Le Premier ministre Gabriel Attal s'est exprimé lundi 6 mai 2024 devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) à l'occasion du 38ème Dîner annuel du Crif.
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Publié le 6 Mai 2024

Yom Hashoah - Arrêter le temps pour se souvenir des six millions de Juifs assassinés durant la Seconde Guerre mondiale

Chaque année, en Israël et à travers le monde, un hommage est rendu lors de Yom HaShoah aux six millions de Juifs assassinés durant la Seconde Guerre mondiale, victimes du nazisme. Cette année, plus que jamais, arrêtons le temps et souvenons-nous des six millions de Juifs qui ont péri pendant la Seconde Guerre mondiale mais aussi des 1 200 Juifs lâchement assassinés le 7 octobre dernier en Israël, et à leurs familles et à ceux qui ont été blessés. Pensons également aux 131 personnes encore retenus en otage par le Hamas, et à leur proches.
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Publié le 6 Mai 2024

L'entretien du Crif - Nathalie Loiseau : les partis alliés de Jordan Bardella « sont des nids d’antisémites »

Ancienne Ministre de l’Europe, Nathalie Loiseau avait mené en 2019 la liste de la majorité présidentielle (qui avait recueilli 22,49 % des suffrages). Députée européenne Renaissance, membre de Horizons le parti d’Édouard Philippe, elle répond à nos questions sur l’enjeu des élections européennes du 9 juin et mène l’offensive contre la liste de Jordan Bardella (RN) qui caracole toujours nettement en tête, selon les instituts de sondage : le Président du Rassemblement national (RN), nous déclare-t-elle, « cherche à se faire passer pour un agneau mais il siège avec les loups : l’AFD allemande, le FPÖ autrichien, l’EKRE estonien sont des nids d’antisémites ». Et d’ajouter : le parti lepéniste « continue de soutenir non seulement Vladimir Poutine mais Bachar El Assad, qui nie l’existence d’Israël et mange dans la main des mollahs de Téhéran ». « Aujourd’hui, il faut rassembler les forces et voter utile pour protéger l’Europe de ses démolisseurs ».
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Publié le 2 Mai 2024

Le brief du Crif - « Terreur intellectuelle et menace pour la liberté académique » à Sciences Po

Alors que les locaux de Sciences Po Paris ont été pris d’assaut par des manifestants propalestiniens virulents et violents, le Président du Crif a réagi face à la « terreur intellectuelle » qu’ils veulent installer à Sciences Po et dans d’autres universités à travers la France.
Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Quatre regards croisés sur une situation explosive et une tyrannie stalinienne : la Corée du Nord !

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17 Juillet 2009
Avec les réponses de Jean-Michel Quillardet, Fabien Taieb, Jacky Mamou, Jacques Jacubert.

Sept Regards croisés sur une tragédie et une honte : une personne sur six dans le monde souffre de la faim !

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16 Juillet 2009
Avec les réponses de Pierre Shapira, Jean-Philippe Moinet, Gaston Kelman, Arié Bensemhoun, Raphaël Draï, Dinah Azoulay, Laurent Duguet.

Frédéric Encel, maître de conférences à Sciences-Po Paris : «Je crois qu'avec l'épisode dramatique de ce mois de juin, on va désormais en Iran à l'affrontement…»

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26 Juin 2009
Question : Dans la crise iranienne, qu’est-ce qui sépare Moussavi et Ahmadinejad ?

Réponse : la forme seulement. Les deux hommes sont des apparatchiks de la république islamique, Moussavi l'étant même plus et depuis plus longtemps ! Mais, parfois un changement de forme implique - ou laisse permettre du moins - un changement de fond. Qu’on se souvienne, toute proposition gardée et en dépit d'un contexte fort différent, d'un Gorbatchev en Union soviétique.

Question : Mohammed Khatami a bénéficié de l’appui d’Ali Akbar Hachemi Rafsandjani, lui-même ancien président de la république (1989-1997). Il semble aujourd'hui être une cible pour l'actuel régime. Pourquoi?

Réponse : Parce que c'est un pragmatique. Rafsandjani est prêt à discuter avec les Russes et les occidentaux, car il comprend les rapports de force, et il sait qu'il vaut mieux obtenir des avantages technologiques (nucléaire civil), diplomatiques (rôle au détroit d’Ormuz, en Afghanistan…) et économiques (fin des sanctions) considérables et renoncer à une course au nucléaire militaire qui risque d'apporter ni l'un ni l'autre en cas de guerre.

Question : L’affrontement Moussavi-Ahmadinejad a débouché sur une lutte entre le guide, Ali Khamenei et la seule personnalité susceptible, au sein des institutions, de s’élever contre lui, l’ayatollah Ali Akbar Hachemi Rafsandjani. Quelle est la position d'Ali Khamenei ?

Réponse : En fait, la position qu'il n'a jamais quittée : celle du plus rigoriste et fanatique gardien du temple et du dogme. Or en principe, cette posture est discrète au sein de la république islamique. Son intervention massive et décisive dans l'arène, en l'espèce en faveur d'une gigantesque tricherie électorale, est sans précédent. En même temps, elle le décrédibilise, y comprit au sein des instances religieuses, et fait par contrecoup d'Ahmadinejad un véritable pantin.

Question : Que traduit la crise actuelle?

Réponse : Une crispation du régime. Souvent la révolution dévore ses propres enfants, en commençant par les plus modérés, ou en l'occurrence les moins fanatiques d'entre eux. Puis tombe le régime tout entier, un jour ou l'autre. Le problème pour les voisins et le monde, c'est que pendant ce temps les centrifugeuses tournent... les Etats-Unis, Israël, les états arabes sunnites, ne peuvent se permettre d'attendre la chute du régime pour agir contre la menace nucléaire, qu'Ahmadinejad brandira dans les toutes prochaines années. J’ai toujours dit qu'il fallait attendre le scrutin du 12 juin car il illustrerait la volonté du guide suprême. Hélas, elle est claire aujourd'hui. Je crois qu'avec l'épisode dramatique de ce mois de juin, on va désormais à l'affrontement...

Michel Taubmann, journaliste, rédacteur en chef du Meilleur du Monde : «Nous sommes tous des démocrates iraniens !»

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26 Juin 2009
La revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante organisent le lundi 29 juin à 18 heures (mairie du 13ème arrondissement de Paris - 1, place d'Italie) un grand colloque : « Iran, le choix démocratique », avec le soutien du CRIF, parmi de nombreuses autres organisations et personnalités, et avec la présence d’Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la démocratie et les droits de l’homme ; Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran ; Chahla Chafiq, sociologue et féministe ; Chahdortt Djavan, écrivain et féministe ; Setâre Enayatzadeh, universitaire ; Prince Reza Pahlavi ; Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003 (1). Qu’attendez-vous de ce colloque ?
Réponse : Je crois qu’il est très important que pour la première fois depuis la révolution islamique, les anciens adversaires ou leurs enfants, je pense notamment à Mohsen Sazegara qui, en 1979, jeune étudiant révolutionnaire, était au côté de Khomeiny, à Neauphle-le-Château et à Reza Pahlavi, fils du Shah d’Iran, chassé du pouvoir par la Révolution islamique. Mohsen Sazegara a été l’un des fondateurs des Gardiens de la Révolution, terrible organisation politico-militaire, qui est encore aujourd’hui, l’un des derniers soutiens du régime.
Reza Pahlavi, lui, se consacre depuis trente ans, seul et sans moyen, car il est abandonné de tous, à instaurer la démocratie dans son pays. Chacun de son côté, Mohsen Sazegara et Reza Pahlavi, ont fait un bout du chemin, ont connu des remises en question et des souffrances. Mohsen Sazegara après avoir occupé de hautes fonctions dans la République Islamique est devenu un leader du mouvement réformateur. Il l’a payé de plusieurs mois de prison, et de tortures physiques et morales. Ces deux hommes se retrouvent aujourd’hui pour soutenir la révolte du peuple iranien et ils sont tous les deux à la fois pour la démocratie et la laïcité. On peut en dire autant de tous les Iraniens qui seront à la tribune. Je pense notamment aux femmes comme Chahdortt Djavan, Chahla Chafiq et Ladan Boroumand, qui, en tant que femmes, furent les premières victimes de l’obscurantisme religieux.

La situation en Iran est grave. Que traduit la crise actuelle ? Peut-on parler de situation prérévolutionnaire ?
Réponse : Cette situation n’est absolument pas surprenante pour ceux qui, comme moi, suivent les événements en Iran, depuis plusieurs années. Nous avons tous relevé un décalage croissant entre une société civile aspirant à la démocratie et l’assouplissement à la disparition des contraintes religieuses imposées par le système.
Je vous rappelle que le livre d’entretiens que j’ai publié avec Reza Pahlavi s’appelle « L’heure du choix », (Ed. Denoël, février 2009, 17 euros), ce qui signifiait clairement que pour lui, la question de la démocratie se posait à court terme pour l’Iran. Ce titre a suscité beaucoup de sarcasmes à l’époque. Il y a encore quelques semaines, des observateurs vantaient la solidité du régime iranien et louaient ses capacités à organiser des élections démocratiques. Ce qui est clair, c’est que nous sommes confrontés à deux crises. La première oppose une grande partie de la société iranienne au pouvoir en place et la deuxième est interne au pouvoir. La jonction entre une partie de l’appareil religieux, politique et militaire et les protestataires entrainera à terme une crise qui débouchera non pas sur une réforme mais sur un dépassement de la République islamique. Il est très significatif d’ailleurs de constater qu’un homme comme Moussavi, ancien Premier ministre de Khamenei et de Khomeiny (entre 1981 et 89) dans la période la plus répressive du régime se trouve aujourd’hui emporté bien loin de ses intentions initiales dans un affrontement avec le régime dont il est issu.

La jeune Neda, qui a été tuée d’une balle en pleine poitrine et dont le film de sa mort fait le tour du monde sur le web, est-elle devenue le symbole même de la résistance en Iran ?
Réponse : Les images terribles de ce carnage, de cet acharnement brutal et inhumain sur cette jeune fille symbolise la réalité de la République islamique. Dans le livre que je publie très bientôt chez Denoël (« Histoire secrète de la révolution iranienne »), avec mon ami l’intellectuel iranien Ramin Parhan, nous montrons avec des documents inédits que dès le premier jour, la révolution islamique s’est distinguée par sa brutalité, sa cruauté, et la haine de tous ceux qui était différent et notamment les femmes. Ce fut une révolution contre les femmes et il est assez malheureusement logique que cette révolution qui a commencé contre les femmes se termine par le massacre d’une jeune femme sans défense. Toutefois, le symbole de la nouvelle révolution démocratique dont nous voyons les prémices actuellement, ce sont ces beaux visages de femmes iraniennes, qui enlèvent leur voile et droit dans les yeux défient les Ayatollahs obscurantistes et leurs miliciens barbares. Ce sont ces visages de femmes dévoilées iraniennes qui sont aujourd’hui non seulement l’espoir de l’Iran mais l’espoir de toux ceux qui pensent -à l’encontre des partisans de la guerre des civilisations- que les valeurs de la déclaration de 1948 des Droits de l’Homme, que l’égalité des hommes et des femmes, que la séparation du politique et du religieux, ne sont pas les produits de l’impérialisme occidental, mais sont les valeurs de l’Humanité toute entière.

Propos recueillis par Marc Knobel

Photo (Michel Taubmann) : D.R.

Note :
1) Pour des raisons de place et de sécurité: Inscription obligatoire à cette adresse email avant le 26 juin: m.taubmann@free.fr

Michel Taubmann est également l’auteur de « La bombe et le Coran, une bibliographie de Mahmoud Ahmadinejad », Ed. du moment, 2008, 19 euros 95.

Elie Korchia, Président du Conseil des Communautés Juives des Hauts de Seine, délégué du CRIF pour le 92 : Tous pour Shalit !

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22 Juin 2009
Question : Il y a trois ans de cela, le jeune franco-israélien était kidnappé dans la bande de Gaza. Depuis, il est depuis sans que l’on sache ce qu’il est devenu. Que vous inspire ce fait tragique ? Et, pourquoi vous mobilisez-vous pour sa libération ?
Réponse : le sort d’un otage ne saurait laisser indifférent. Guilad Shalit est depuis plus de 1000 jours dans des conditions que l’on peut imaginer, particulièrement difficiles. Bien évidemment, la communauté juive dans son ensemble est attentive et inquiète du sort de ce franco-israélien. Il m’apparaît important, alors que nous dépassons la troisième année de sa détention (jeudi 25 juin 2006), que des villes du département des Hauts-de-Seine puissent se mobiliser, dans un même élan solidaire pour la libération de cet otage, et dans le prolongement du discours et des annonces précédemment faites par le Président de la république.

Question : Estimez-vous que votre département saura se mobiliser pour le jeune Guilad ?
Réponse : Je vous rappelle que j’ai sollicité un certain nombre d’élus sur cette question dès après mon élection dans les communautés juives des Hauts-de-Seine (15 mars 2009). J’ai eu le plaisir de recevoir un écho très positif quant à cette démarche et je me suis rendu compte que le département des Hauts-de-Seine pouvait à nouveau jouer un rôle moteur, pour ne pas dire pilote, dans un engagement pour la libération de Guilad Shalit. C’est ainsi qu’à l’occasion de la grande soirée de gala qui a réuni toutes les communautés juives des Hauts-de-Seine -le 17 juin 2009, au Haras de Jardy (Marne la coquette)- que j’ai annoncé que sept villes du département ont accepté d’apposer ce jeudi 25 juin 2009, le portrait de Guilad dans leur mairie. J’en profite aussi pour remercier de son soutien l’association « Soutien Français à Guilad Shalit, qui nous a aidé à délivrer les portraits de Guilad dans les différentes mairies et, plus largement, tous ceux qui dans le milieu associatif, politique ou communautaire sont engagés dans ce combat.

Question : Pourriez-vous nous dire quelles sont les villes du département qui vous suivent à l’heure actuelle dans cette démarche citoyenne ?
Réponse : En quelques jours, dans la préparation de la journée, certaines villes se sont mobilisées rapidement : Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Medon, La Garenne Colombes, Puteaux, Neuilly sur Seine, Suresnes.

Question : Pourriez-vous me donner un exemple plus particulier ?
Réponse : Oui, tout à fait. Si l’engagement des différentes villes est d’apposer le portrait de Guilad dans la journée du jeudi 25 juin, je tiens à remarquer que ce même jour, à la mairie d’Issy-les-Moulineaux, André Santini, maire de la ville, organisera une cérémonie conséquente autour de cet événement, et en présence de nombreux élus.

Question : D’autres villes du département se joindront-elles prochainement à cette initiative ?
Réponse : J’espère vivement que ce projet -qui devient réalité- pourra être partagé prochainement dans d’autres villes car le soutien exprimé pour la libération d’un otage dépasse largement tous les clivages politiques ou partisans.

Question : Souhaitez-vous que cette action suscite un engouement dans d’autres départements et que seriez-vous prêts à faire en ce sens ?
Réponse : Je suis à l’entière disposition de tous les responsables communautaires tant en Ile-de-France que dans les régions, pour faire en sorte que cette expérience serve de modèle et puisse être dupliquée ailleurs.

Georges Bensoussan : A quoi sert de plaider pour un enseignement qui fasse sens si on ferme les yeux sur ce qui se passe en France en 2009 ?

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19 Juin 2009
George Bensoussan est historien, responsable éditorial de la revue d’Histoire de la Shoah

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