Jeudi 8 février, les élus du Conseil de Paris ont adopté l’attribution de la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à l’ensemble des otages israéliens toujours retenus par le Hamas à Gaza.
Mercredi 7 février, en partenariat étroit, le Crif Bordeaux Aquitaine et la loge B’nai B’rith Michel de Montaigne ont organisé un temps de rencontre à la fois émouvant et solennel pour se souvenir des victimes du Hamas et de tous les otages.
Mercredi 7 février au soir, un rassemblement a eu lieu à Lyon, à l'initiative du Crif Auvergne Rhône-Alpes, en hommage aux 42 victimes françaises des attaques du 7 octobre 2023 en Israël, ainsi qu'aux 136 otages, dont 3 sont français.
Mercredi 7 février, le Crif a lancé une campagne d’affichage RATP et SNCF dans les stations de métro et dans les gares, afin de rappeler la situation intolérable des otages retenus à Gaza. Parmi eux trois français, Ohad, Orion et Ofer. Il est essentiel de continuer à sensibiliser sur le sort des otages et de renouveler nos appels à la libération de tous les otages.
Mercredi 7 février 2024, le Président Emmanuel Macron a présidé, dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides, la cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attaques terroristes du 7 octobre en Israël. Le Crif était présent pour rendre hommage aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas en Israël.
7 février 2024. Quatre mois après, un hommage national a été rendu par le Président de la République, Emmanuel Macron, aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël. Le Crif présente à cette occasion les résultats d'une enquête réalisée par Harris Interactive sur la « Perception de l’hommage aux victimes françaises de l’attentat du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 ».
Après l’agression antisémite de trois étudiants juifs à l’Université de Strasbourg, la Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, de passage à Strasbourg souhaitait saluer la communauté juive et lui montrer son soutien.
Le 7 février 2024, un hommage national sera rendu par le Président de la République, Emmanuel Macron, aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël. Cet hommage sera retransmis sur écran géant sur l'esplanade des Invalides à Paris à partir de 11h15.
« Des jeunes filles et un garçon ont été agressés et violentés sur le campus de Strasbourg dimanche soir, pour la seule raison qu’ils affichaient la photo des otages du Hamas dans l’espoir de voir leur libération ainsi que leur refus de l'antisémitisme. »
Guy Senbel, vous inaugurez une nouvelle rubrique de la newsletter du Crif consacrée aux médias. Vous allez lancer officiellement, début 2008, une télévision Guysen TV, qu’on peut déjà recevoir sur le câble. Pourquoi cette télévision ? Est-ce une TV israélienne ? juive ? généraliste ?
Question : Vous êtes psychanalyste en Israël. Dans votre pratique, vous recevez des enfants, des bébés, des parents en grande difficulté, qu’ils soient palestiniens ou israéliens. Pourriez-vous nous expliquer ce que vous faites ?
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.
Question :Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeauxorganisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?