Lutte contre la radicalisation : engager des actions

Des représentants de la communauté musulmane et de la communauté juive étaient présents, ainsi que des partenaires associatifs et universitaires, sans oublier les nombreux acteurs institutionnels représentant le cabinet du Premier ministre, le ministère de l’Intérieur, l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT), l’Administration pénitentiaire (AP), le ministère de l’Éducation nationale, le Secrétariat général des affaires européennes (SGAE), la Mission interministérielle de vigilance et de luttes contre les dérives sectaires (MIVILUDES) et la Fondation d’Aide aux Victimes du Terrorisme (FAVT) sous l’égide de la Fondation de France.

Les travaux ont été ouverts par Michel WIEVIORKA, Administrateur de la Fondation Maison des sciences de l’homme, et par Guillaume DENOIX de SAINT MARC, directeur général de l’AfVT.org.

Tout au long de l’après-midi, les participants ont pu mettre en évidence certaines pratiques constructives mais aussi des échecs dont il convient de tirer les enseignements dans la lutte contre la radicalisation et l’extrémisme violent.

4 thèmes de réflexion ont ainsi été abordés :

- Comment sensibiliser des adolescents et de jeunes adultes en milieu ouvert ?

- Quelle contre-narration doit-on promouvoir contre la propagande extrémiste ?

- Quel type d’intervention en milieu pénitentiaire peut-on bâtir ?

- Quel dispositif pluridisciplinaire de déradicalisation (ou de désengagement) peut-on mettre en place ?

L’Association française des Victimes du Terrorisme poursuit ainsi sa démarche de créer un réseau français pluridisciplinaire d’acteurs engagés dans la lutte contre la radicalisation.