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Publié le 15 Octobre 2015

EDITO

A l'occasion de la soirée des Amis Du Crif hier soir, nous recevions Alain Weill et Claude Askolovitch et avons évoqué le traitement médiatique du conflit israëlo-palestinien

Publié par Robert Ejnes, directeur exécutif du CRIF et directeur de la publication

A chaque fois que nous regardons la télévision, écoutons la radio, lisons la presse écrite, surfons sur les sites d'informations sur internet et les réseaux sociaux, nous sautons en l'air.
 
Comment peuvent-ils oser ?
Les journalistes, bloggeurs,  internautes transforment l'information, la travestissent, convertissent les victimes en agresseurs, utilisent des mots qui instillent le doute, etc. 
Au CRIF, nous agissions tous les jours pour analyser, discuter, corriger, réclamer, fustiger,…
Hier soir, aux Amis du Crif, vous avez pu entendre et interroger Alain Weil, président de NextRadioTV, interviewé par Claude Askolovitch.  La discussion a été correcte, sans langue de bois, mais sans concession, avec des exemples précis, pour qu'il comprenne la perception que nous avons de l'information sur RMC et BFMTV, comme sur les autres médias.
C'est aussi ce que nous dirons dimanche à 18 heures en répondant à l'appel de l'UEJF devant l'ambassade d'Israël.
Vous nous questionnez.  Que pouvons-nous faire ? Que pouvez-vous faire ? La question revient sans cesse dans nos échanges et sur les réseaux sociaux.
Dites-le !  Le dire à vos amis sur les réseaux sociaux ne suffit pas !
 
Exprimez-vous, écrivez aux journalistes, aux éditeurs, aux patrons des journaux, dites-leur ce que vous en pensez.  Mettez-les en demeure de vérifier les faits, de rapporter les faits sans les biaiser, de dire l'histoire en entier, de nommer les terroristes et de nommer les victimes.