Le cas tragique de ce petit garçon met en lumière le sort de centaines de milliers de Palestiniens qui vivent dans les camps de réfugiés au Liban, victimes d'un apartheid qui leur interdit l'accès à l'éducation, au travail et aux soins médicaux. Triste ironie du sort, la mort de Nabil Taha coïncide avec le lancement de la « Semaine contre l'apartheid israélien », festival de haine organisé par les activistes anti-israéliens sur les campus universitaires des États-Unis, du Canada et d'autres pays. Il est hautement improbable que les organisateurs de ce « festival » aient entendu parler du cas de Nabil Taha. Et encore plus improbable qu'ils eussent fait connaître cette affaire s’ils en avaient entendu parler…
Photo (des réfugiés palestiniens au Liban) : D.R.
Source : The Jewish Chronicle