Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Ensemble, nous sommes plus forts

04 December 2020 | 67 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Mardi 10 octobre 2017, j'ai été reçu par le Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères pour un long tour d'horizon.

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#BlogDuCrif - Devoir de mémoire
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20 September 2017
Catégorie : France

Il y a 76 ans, le 15 décembre 1941, 69 hommes ont été fusillés au Fort du Mont Valérien à Suresnes, dans les Hauts de Seine par les autorités d’occupations allemandes. Ces hommes, français et étrangers, furent arrêtés par les forces de polices françaises de la Préfecture de police du département de la Seine (à l’époque).

Je vais vous raconter l’histoire de Moritz Singer, mon oncle, le frère de ma mère, un de ces fusillés.

En 2017, Roger Pinto, sa femme et son fils ont été séquestrés, violentés et détroussés à leur domicile de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), "une agression antisémite" condamnée par le Crif et le ministre de l'Intérieur. Une première ?

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

"The strength of a Nation always lies in the the way it looks at its History and and its ability to teach it to future generations".

 

"La force d’une Nation réside toujours dans le regard qu’elle sait porter sur son histoire et sa capacité à l’enseigner aux générations suivantes."

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

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Actualité

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

Dimanche 13 janvier 2019, le Crif a organisé un voyage de mémoire à Auschwitz-Birkenau. Ensemble, au cours de cette journée, nous avons honoré le devoir de mémoire qui nous incombe et sommes devenus les témoins des témoins.

L'historien Laurent Joly publie un nouvel éclairage sur la collaboration de la France occupée à la déportation des juifs. Une œuvre magistrale.

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Opinion

Texte de Richard Prasquier, ancien président du Crif, également publié dans l'hébdomadaire Actualité Juive.

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Par Nicolas Bedos

Par Chloé Blum

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

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Depuis 1992, à l’initiative de l’ONU, le 3 décembre est la journée internationale des personnes handicapées. Selon sa définition officielle, cette journée vise à promouvoir la compréhension des questions de handicap et à mobiliser le soutien pour la dignité, le droit et le bien-être des personnes handicapées.

Une journée pour comprendre ce que vivent des millions d’entre nous 365 jours par an.

Une journée pour essayer de comprendre comment vivre avec un handicap quelle qu’en soit la forme.

Une journée pour se poser la question essentielle : Qu’a-t-on fait et que fait-on vraiment pour celles et ceux qui, souvent à cause de « petites » mais pour elles énormes choses, sont en situation de handicap ? Et que nous mettons en situation de handicap par les obstacles que nous mettons sur leur passage ou par la non prise en compte de ces aménagements qui trop souvent font défauts.

Quelques exemples :

  • L’absence de rampes d’accès à un magasin
  • Des toilettes en étage ou au sous-sol dans un restaurant
  • Des places inaccessibles dans les salles de spectacles
  • Des passages piétons non équipées de signaux sonores indiquant la couleur du feu

Et des tas d’autres petites choses auxquelles je vous invite à réfléchir qui font que nous gâchons la vie de ceux qui n’aspirent pas à la compassion ni à la pitié mais qui demandent simplement à pouvoir être comme tout le monde : des consommateurs, des citoyens libres.

Ces millions d’handicapés, comme on les nomme, sont des hommes, des femmes et des enfants qui comme l’ensemble de l’humanité, ont les mêmes défauts que tout un chacun. Ils peuvent être comme nous tous, intelligents ou idiots, adorables ou « cons », avares ou généreux.

Ils sont comme nous tous, des humains avec leurs défauts et leurs qualités. 

En cette période de Tsedaka, en cette veille de shabbat, au lendemain de cette journée internationale du handicap, soyons tous, handicapés ou non, des êtres généreux conscients de notre responsabilité vis-à-vis de notre prochain et donnons afin de ne pas mettre en « situation de handicap » ceux qui souffrent physiquement, moralement ou économiquement.

Seuls, ils sont faibles, ensemble nous sommes forts !

Donnons à l’Appel National pour la Tsedaka !

Gil Taïeb 

 

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