Blog du Crif - Quelques classiques à lire au frais, les volets fermés

26 June 2020 | 187 vue(s)
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Actualité

Le 33ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 7 mars 2018.

Au théâtre de l'Atelier, Le livre de ma mère réveille les souvenirs et sublime la relation la plus sincère qui est donnée à l'homme de connaître.

Vendredi 23 février, j'ai rencontré Tomasz Młynarski, Ambassadeur de Pologne en France.

La première djihadiste française capturée à Mossoul par les forces irakiennes en juillet 2017, Mélina Boughedir, a été condamnée, lundi 19 février, à sept mois de prison pour l’entrée illégale en Irak. La cour pénale de Bagdad a ordonné la remise en liberté et l’expulsion en France de la jeune femme de 27 ans, sa peine étant couverte par sa détention préventive, rapporte Le Monde du 19 février. Qui sont ces femmes désintégrées, déstructurées et aveuglées par la propagande développée par les djihadistes et qui ont été des proies faciles. C'est ainsi qu'elles se sont déshumanisées et ont participé à cette orgie barbare et moyenâgeuse qu’est le djihadisme.

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"On s'est dit au-revoir. C'était un au-revoir mais qu'y avait-il derrière cet au-revoir ?"

Dans leur numéro de janvier, le magazine Youpi, destiné aux enfants de 5 à 8 ans, a clairement laissé entendre à ses jeunes lecteurs qu' "Israel n'était pas un vrai pays".

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

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Opinion

L'historien Laurent Joly publie un nouvel éclairage sur la collaboration de la France occupée à la déportation des juifs. Une œuvre magistrale.

Le Crif souhaite un prompt rétablissement à Jean-Pierre Allali suite à son récent accident et espère le retrouver très vite en pleine forme.

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Les vacances approchent, les températures élevées ont pointé leur bout de leur nez... Et si on relisait nos classiques au frais, les volets fermés ? Rien de tel pour s’évader le temps d’un été…

 

1 - Illusions perdues de Balzac

Si la taille du livre pourrait en décourager certains, le récit est bien au contraire entraînant. Entre désir de s’échapper vers un milieu social différent et soif de réussite, certaines situations sont pourtant vouées à l’échec, faisant ainsi perdre toutes illusions espérées. Emprunt d’une grande modernité, cet ouvrage du 19ème siècle est ô combien au goût du jour. 

 

2- L’Oeuvre de Zola

Quatorzième volume de la série Les Rougon-Macquart, l’ouvrage nous entraîne dans le monde de l’art et des artistes, à travers le portrait d’un peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage évoque Paul Cézanne, grand ami de Zola.

Plongée dans le monde impitoyable des artistes et de l’art à travers cet ouvrage qui se contemple à la manière d’un tableau. 

 

3 - L’homme qui rit de Victor Hugo  

Si certains ont adoré le film et le personnage du Joker, il est alors indispensable de se plonger dans une lecture qui a inspiré ce personnage cinématographique. Parce que les versions originales n’ont pas de prix, l’homme qui rit de Victor Hugo fascine et intrigue, sans doute également parce qu’il est le dernier roman écrit par Victor Hugo en exil. 

 

4 - Le Premier Homme d’Albert Camus

Retrouvé dans la poche de l’auteur au moment d’un accident de la route qui a causé sa mort, le manuscrit de ce roman est une épreuve originelle d'une très grande qualité, permettant au lecteur de savourer pleinement l'écriture d'Albert Camus.

Ce roman autobiographique inachevé, publié par sa fille en 1994, est une plongée au coeur d’une Algérie fantasmée où se mêlent souvenirs d’enfances et projection ainsi que construction d’un passé vécu enfant et écrit à travers un regard adulte. Dans ce roman, l’auteur y évoque la vie dure, l'école libératrice, la passion de vivre, et dessine une Algérie tendue d'où sont en train de s'effacer les rêves de paix.