Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Question : Il y a quatre mois, les électeurs polonais donnaient une très légère victoire au parti conservateur Droit et Justice dont les leaders sont les jumeaux Lech et Jaroslaw Kaczynski. Avant le scrutin, ce parti avait convenu avec son rival libéral de gouverner sur la base d'une coalition, mais les relations entre les deux partis n'auront pas permis d'envisager très longtemps cette alliance. Aussi, les conservateurs au pouvoir ont-ils conclu une alliance formelle avec le parti Autodéfense, une formation populiste et la Ligue des familles polonaises, un parti d'extrême droite catholique. L'accord éloigne la menace d'élections législatives anticipées qui pesait sur la Pologne depuis plusieurs semaines. Pensez-vous que cet accord (conclu pour douze mois renouvelables) porte la griffe de l'ultra-conservatisme polonais : un mélange de nationalisme, d'hostilité à l'intégration européenne et de défense des valeurs traditionnelles souvent mâtinées d’antisémitisme ?
Question : Depuis le départ d’Ariel Sharon du Likoud et la création de son nouveau parti centriste, « Kadima », le paysage politique israélien s’est modifié. La presse parle de « Big bang », de « séisme », de « révolution ». Trois grandes formations majeures vont donc s’affronter pour les prochaines élections législatives. Quelles sont, selon vous, les intentions d’Ariel Sharon et les raisons qui expliquent qu’il ait voulu créer son propre parti ?