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Souvenons-nous de l’attentat au cœur de Paris, à la synagogue de la rue Copernic, et du carnage au centre talmudique du Merkaz Harav en mars 2008, où huit jeunes fidèles Juifs avaient été tués.
Désormais, nous sommes confrontés à de multiples actes de terrorisme, dont certains sont perpétrés par des individus apparemment isolés. Soulignons toutefois qu’il n’existe pas de « loups solitaires » et ces actions ne sont ni des accidents de la route ni des incidents commis par des gens insensés ou des malades mentaux. Leurs actes sont la conséquence de l’incitation à la haine par les dirigeants du Hamas, mais aussi d’un laxisme des autorités israéliennes vis-à-vis des résidents de Jérusalem Est. Le gouvernement et la police devraient réagir avec fermeté et apporter des réponses urgentes à ce nouveau fléau.
Comment laisser circuler librement un ouvrier palestinien avec une carte d’identité israélienne en ignorant ses opinions extrémistes, celles de sa famille liée étroitement au Hamas, de ses proches et de son entourage ? Quelles seront les mesures prises par le gouvernement pour contrecarrer ce genre d’attentat ? Quel est le châtiment exemplaire que les terroristes et leurs commanditaires subiront ? La destruction de leur maison est-elle suffisante ? Quel genre de dissuasion le gouvernement compte adopter ? Comment s’assurera-t-il que de nouveaux attentats ne se répéteront pas ? Quelles seront les mesures préventives qui seront prises contre les résidents de Jérusalem-Est et contre des extrémistes juifs qui souhaitent vengeance ? Ce sont de nombreuses questions graves auxquelles le gouvernement devrait répondre sans attendre.
Seule une politique claire, cohérente et intransigeante pourra assurer la sécurité des résidents juifs et arabes de la capitale.
Voilà plus d’un siècle que le terrorisme arabe frappe à nos portes. Bien avant la création de l’État d’Israël, et aujourd’hui encore, les actes de haine et de violence sont perpétrés chaque jour contre une population civile silencieuse. Contre des femmes, des vieillards et des enfants innocents. Une situation intolérable et intenable pour un peuple qui désire vivre en paix et cohabiter pour toujours avec ses voisins arabes.
Les dirigeants palestiniens ont raté tous les rendez-vous de l’Histoire. Ils n’ont pas changé de visage ni d’objectif. Hier, c’était Georges Habache, le Chrétien orthodoxe du Front populaire ; aujourd’hui, c’est Khaled Mechaal, chef du Hamas affilié aux Frères musulmans. Leur doctrine est similaire, leur but est le même : le terrorisme est le seul moyen pour chasser les Juifs sionistes de Palestine. Une guerre d’usure et de religion inspirée par des groupes Islamistes de tous bords, sunnites et chiites, téléguidée par les Ayatollahs à Téhéran ou par l’organisation de Daesh.
Les derniers attentats à Jérusalem s’inscrivent dans une guerre de religion dont l’objectif est de faire flotter l’étendard islamique sur le Mont du Temple. Les cris de vengeance, de joie et d’allégresse après chaque attentat meurtrier prouvent que deux civilisations s’affrontent. Deux cultures opposées. Deux écoles de pensée contradictoires : celle d’un Judaïsme aux valeurs universelles, de la sagesse, la tolérance et de la prière sincère, face à un intégrisme musulman, ignoble et abject. Une barbarie et une cruauté qui n’ont pas de nom. Comment donc expliquer que de jeunes Palestiniens ou même des Européens soient inspirés par l’organisation de Daesh, par ces bourreaux qui coupent les têtes comme du bétail devant les caméras au nom d’un Dieu méchant et tout puissant ?!... Lire la suite.