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Les présidents respectifs du CRIF, Roger Cukierman, Richard Prasquier, Francis Kalifat, ainsi que les délégués et présidents régionaux, les membres de l'Assemblée générale, les responsables, amis et militants de notre institution et de la communauté juive et bien au-delà de cette communauté... retiendront d’Hubert Allouche, qu’il était un homme particulièrement charmant, toujours souriant, ayant des paroles aimables, d’une pure gentillesse et d’une grande tendresse.
Hubert c’était d’abord cela : un homme gentil et respectueux.
Au CRIF, nous nous souviendrons également qu’il a toujours été un militant particulièrement dévoué. On pourrait ajouter infatigable, mais également qu’il fut toujours conscient des dangers, des menaces, de l’angoisse régnante.
Hubert, c’était aussi cela : un militant vrai.
Car, il fallait du courage pour affronter les militants forcenés du BDS qui veulent, voulaient boycotter les produits israéliens et déversent, déversaient leur haine implacable lorsqu’ils parlent, parlaient d’Israël.
Hubert, c’était aussi cela : un homme résolu, déterminé.
Car, nous vous le disons, il n’était pas homme à baisser la garde, il n’était pas homme à baisser la tête. Plus généralement, il fallait du courage pour dénoncer l’extrême droite en sa région. Il sentait également poindre cette menace.
Hubert, c’était également cela : un homme de dialogue, qui écoutait et aimait son prochain.
Au-delà d’être tout cela, il était notre ami. Un grand ami.