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Pourtant, il y 20 ans, une voiture piégée explosait à l'extérieur du centre communautaire Juif AMIA, dans la capitale argentine de Buenos Aires, tuant 85 personnes et en blessant plusieurs centaines, et la justice n'a pas encore puni les coupables.
Il tout à fait inacceptable que, près de sept ans après les faits, alors qu’Interpol a publié une « notice rouge », appelant à l'arrestation de plusieurs suspects iraniens - dont l'ancien Ministre de la Défense iranien, Ahmad Vahidi Admad – aucun de ces suspects n’ait été remis aux autorités argentines.
Aujourd'hui, l'Iran reste l'un des principaux Etat à répandre la haine et à la violence dans le monde. Arrêter et amener les hommes responsables de cet attentat devant la justice est essentiel, pour dire au monde que le terrorisme parrainé par un État ne sera pas toléré par la communauté internationale.
Depuis le 18 juillet 1994, le Congrès Juif mondial appelle à traduire les auteurs de cette attaque devant la justice.
Ronald Lauder,
Président du CJM