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De son côté, l’ambassadrice israélienne auprès de l’AIEA, Merav Tzafary-Odiz, a précisé au conseil d’administration de l’agence des Nations unies que l’Iran, qui ne reconnaît pas Israël, faisait preuve d’une coopération sélective dans l’enquête de l’AIEA sur la recherche nucléaire suspecte menée par Téhéran. Sans surprise, le régime nie l’accusation. « Si l’Iran fournissait un accès intégral aux informations, documents, installations, lieux et personnels, l’AIEA en arriverait certainement à des conclusions troublantes sur la dimension militaire du programme nucléaire iranien », a taclé Tzafary-Odiz. « À notre connaissance, les hauts responsables qui ont travaillé au ministère de la Défense sur le programme d’armement jusqu’en 2003, continuent d’officier au ministère de la Défense au sein d’une organisation appelée aujourd’hui l’Organisation de l’innovation et de la recherche défensives » a-t-elle poursuivi. L’Iran a, de manière répétée, rejeté de telles accusations, et affirmé qu’au contraire l’arsenal nucléaire supposé d’Israël menaçait la paix régionale… Lire la suite.