« Nous avons exhorté l’Iran, plus d’une fois, à cesser les exécutions », explique Navi Pillay. « Je suis consternée par le fait qu’au lieu d’entendre nos appels, les autorités iraniennes semblent faire un usage accru de la peine de mort », dénonce-t-elle. Selon le Haut commissaire, une grande partie des personnes ont été exécutées sur des accusations de trafic de drogue. Et au moins trois prisonniers politiques ont été pendus en janvier en tant qu’« ennemi de Dieu ». En matière de droit commun, le meurtre, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue et l’adultère sont passibles de la peine de mort en Iran.
Photo : D.R.
Source : un.org