Il faut bien croire qu’il y a un mystère autour de ce peuple, autour de cet Etat et pour ce que, ici même, cette communauté symbolise et au fond ce que l’on regrette le plus dans la représentation que le dîner du CRIF donne des juifs, c’est bien le paradoxe né de cette rencontre entre cette part de mystère et sa banalisation imposée par le jeu médiatique. Mais c’est aussi la curiosité pour toutes ces questions apparentes ou ces énigmes subliminales emboitées qui a fait que près de 1000 personnes se sont aussi pressées à ce dîner.
Photo : © 2009 Alain Azria