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Dieudonné : « Cette écharpe est un cadeau de Khaled Mechaal »

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09 Janvier 2014

Dépêche MEMRI n°5590 – intégralité téléchargeable (en anglais) au format PDF ci-contre.

 

Dans une vidéo filmée en Iran en août 2013, où il évoque la montée de la popularité de la quenelle, Dieudonné M'bala M'bala a exhorté les gens à «être subversif, glisser des quenelles, désobéir ». Dans cette même vidéo, il montre une écharpe qu’il porte au coup, disant : « «Ce [foulard] est un don de Khaled Mechaal - (leader du mouvement terroriste Hamas, Ndlr) - un cadeau personnel qu'il m'a donné quand nous nous sommes rencontrés dans cette région. Cette écharpe est celle du Hamas, des combattants fiers du Hamas », ajoute-t-il. Dans un message posté sur le Net en août 2012, il a appelé les soldats et les policiers mécontents à organiser… un coup d'État en France, selon MEMRI. Lors d'une visite en Iran en septembre 2011, il a déclaré à la télévision iranienne Sahar TV : «Le sionisme a tué le Christ » et a ajouté: «Nous devons convaincre les Chrétiens à se joindre à ce grand mouvement islamique universel ».

Courrier de Christian Estrosi demandant au Préfet d’interdire la tenue de la réunion d’Alain Soral

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09 Janvier 2014

Ville de Nice, 8 janvier 2014

 

"Alors que l’antisémitisme régulier de Monsieur Dieudonné M’bala M’bala est au cœur des débats politiques, Monsieur Alain Soral, essayiste, programme une réunion à Nice et à Marseille. Christian Estrosi, Député-Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, demande  à Monsieur le Préfet des Alpes-Maritimes d’interdire cette réunion publique : « Selon le site internet personnel de Monsieur Alain Soral, Égalité et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr), une réunion publique de cette personne est prévue les 11 et 12 janvier à Nice et à Marseille.

Joël Mergui réélu président du Consistoire de Paris

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09 Janvier 2014

Joël Mergui,  Président  du  Consistoire  Central  vient   d’être  réélu  à  la  présidence  du  Consistoire  de  Paris  mercredi  8 janvier 2014 . Le CRIF le félicite ainsi que son bureau et note avec satisfaction que deux des vice-présidents élus, Samy Ghozlan et Élie Korchia, sont par ailleurs membres du Comité directeur du CRIF.

Voyage de Mémoire du Mémorial de la Shoah

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08 Janvier 2014

Pensez à réserver !

Plus que quelques places disponibles le 19 janvier 2014.

 

Dimanche 19 janvier 2014

Visite d'Auschwitz-Birkenau

 

Transport (horaires indicatifs)

Rendez-vous à 5 h du matin à Roissy-CDG.

Décollage à 7 h pour Cracovie par avion spécial.

Arrivée à Cracovie vers 9 h. Transfert aller/retour Cracovie-Auschwitz en autobus.

Retour le soir vers 23 h à Roissy-CDG.

 

 

Programme

Le matin : Visite d'Auschwitz-II-Birkenau, recueillement au monument commémoratif.

L'après-midi : Visite d'Auschwitz-I et de son musée.

90e anniversaire de la naissance de Jorge Semprun

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08 Janvier 2014

À l'occasion du 90e anniversaire de la naissance de Jorge Semprun ,ancien déporté à Buchenwald ,écrivain célèbre ,scénariste de films avec Yves Montand en particulier ,ancien Ministre espagnol de la Culture ,il nous a semblé intéressant de vous livrer les réflexions qu'il avait livrées, le 5 octobre 2010, lors d'une réunion de la Commission d'Études Politiques du CRIF à l'occasion d'une conférence intitulée « Pourquoi je suis philosémite et pourquoi je le reste ».

Georges Ibrahim Abdallah : comment un terroriste peut-il devenir citoyen d’honneur ?

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07 Janvier 2014

L’Association française des Victimes du Terrorisme pose la question à Monsieur le Maire de Bagnolet : comment un terroriste peut-il devenir « citoyen d’honneur » en France ?

C’est avec stupeur que nous avons appris par voie de presse la décision de Marc EVERBECQ, maire de Bagnolet, d’accorder la citoyenneté d’honneur à Georges Ibrahim ABDALLAH.

Par le biais d’un arrêté municipal daté du 11 décembre 2013, l’ancien chef des FARL (Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises), condamné en France en 1987 à la perpétuité, est présenté comme un « défenseur acharné de la juste cause palestinienne » et un « prisonnier politique ». Cette description sous-entend que Georges Ibrahim ABDALLAH a été condamné par la justice française en raison de ses idées, et non de ses actes. Or, la réalité est tout autre…

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