Paris – Dimanche 22 juillet 2012
Nous sommes rassemblés ce matin pour rappeler l’horreur d’un crime le plus épouvantable qui soit, pour exprimer le chagrin de ceux qui ont vécu la tragédie, pour entendre jusqu’ici, ici même, leurs cris de détresse. Nous sommes rassemblés pour évoquer les heures noires de la collaboration, notre histoire, et donc la responsabilité de la France.