Un confrère a envoyé au Dr Christophe Oberlin la lettre suivante. J'y adhère totalement. Chez mes nombreux interlocuteurs, professionnels de la médecine ou représentants des pouvoirs publics, j'ai entendu les mêmes réactions stupéfaites. Un mot peut les résumer, celui d'outrage. Outrage devant le détournement des devoirs du maître au profit d'une tribune pour les obsessions du militant, outrage devant le mépris envers les principes hippocratiques d'égalité des patients, comme s'il n'y avait pas eu de blessés, de morts, d'invalides à cause des crimes du Hamas..., outrage devant cette volonté d'incruster dans le cerveau des étudiants la haine plutôt que le savoir.
Je ne sais pas si sa myopie intellectuelle aide ou non M. Oberlin à opérer. Je suis sûr qu'elle lui interdit d'enseigner.
Richard Prasquier